[Fini] One Night for One Love

Histoire : Dans une contré recluse du Japon (Non pas si recluse...), là où il était bon vivre, là où la nuit on pouvait comtempler un ciel remplit d'étoiles, là où...Enfin.
Cette contré où tout paraissé si calme, était le théatre de bien des soucis. Les causes de ces malheurs son dû à deux clans, ancestraux, de Yakuza.
D'un côté le clan Ouji, des générations et des générations de sang royal coule dans leurs veines.
De l'autre le clan Sakura, l'une des premiere famille ayant occupé ce domaine.
Depuis quelque temps les choses se sont envenimé, les affrontemments entre ces deux partie ne font que s'accroitre. Si bien que certains préfère s'éviter et d'autre son près à allé jusqu'au carnage.

Spoiler:

Quel Soleil de plomb, j'espere qu'il va bienôt se mettre a pleuvoir. Ainsi c'est satanés gosses rentrerons enfin chez eux. Ils font tellement de bruit. Quelle idée aussi d'être venu prendre l'air dans ce parc. Mieu vaut chercher un endroit plus calme. Je fis quelque pas mais m'arreta assez vite devant un marchand abulant. De l'eau, oui, c'est ce qu'il me faut. Je pris une gorgé.

J'ai cru que j'allais me sentir un peu mieu avec ça mais...le résultat est le même, j'ai toujours aussi chaud. J'apperçois au loin un coin à l'ombre. Parfait. Je m'appuie contre un arbre et me met en tête d'observer l'étiquette de la bouteille. Bien sûr ça n'a aucun interet. Mais je dois dire que ça a un côté hypnotique. Si bien que je n'en sortit qu'une fois avoir reçu un choque au niveau du pied et entendu quelque chose s'écrouler dessus.

Ma premiere question "Qu'est-ce que c'est ?" trouva bien vite une réponse. La chose semblait bouger ! Donnons quelques coup légers pour en être sûr. Je regardais la chose en question se relever avec interrogation. "Pourquoi mon pied ?"

Spoiler:

J'y croyais pas. C'était la meilleure.
J'étais parti au cinéma, voir un film d'horreur, car " chez moi " je m'ennuyais comme pas possible.
Bon, j'le trouvais un peu bizarre le mec d'à côté mais bon, j'y prêtai pas attention.
Puis après le film, je l'ai revu : Il allait dans la même direction que moi.
Tout aller bien mais après, j'ai sentis une main sur mes fesses !
Suivit d'un " Dis donc, poulette, t'as un beau cul toi m'enfin..Ça compense ton manque de poitrine... "

Mon manque de poitrine ?..
Je lui avais répondu :

" Ma poitrine...Tu vas voir où tu vas l'avoir ma poitrine sale pervers ! " Pis je m'étais retourné, j'ai donné un coup de pied bien placé pour moi, mal placé pour lui.

Une fille...Je ressemble à une fille, c'est ça ?! Non mais...
Cependant, j'eus un peu peur quand je le vis commencer à marché vite vers moi, alors hop.
Je passe par un buisson - J'ai craqué mon débardeur entre temps. Bon, après avoir crû le semé, je me pris une branche d'arbre.
Branche qui, quelques secondes après me donna quelques coups de pied.

- Itai...Murmurai-je, me massant le dos
, espérant apaisée la douleur.

Je me leva, et regarda par terre..Ce n'étais pas une branche mais un pied...Les troncs n'ont pas de...

Je releva ma tête et vit un blond, me regardant bizarrement...
Je le regardais, attendant des excuses convenable.

Voila que ça me fusille du regard, quel regard. On dirait presque que j'ai fait quelque chose de mal. Je n'aime pas ça. Je reffrape un autre petit coup, comme pour lui dire de regarder ailleur. Mais rien y fait. Je releve la tête et croise les bras avant de partir. Dommage c'était un bon endroit !

Mais je ne m'attendais vraiment pas à tomber à mon tour. Quelque chose à retenu ma cheville. Hm, c'est pas vrai ça ! Je me redresse sur les genoux et regarde derriere moi. Encore ?

- Pourquoi as tu fait ça ?

Je me releve et secoue mes vetements de mes mains. Il y a des personnes qu'on aimerai éviter. Je croi bien que je vient de tomber sur l'une d'elle. Je me baisse pour attraper ma bouteille sur le sol, puis me tourne à nouveau vers "la chose".

- C'est dangereux tu sais.

Et il me donna un autre coup de pied, saleté, va.

...

Puis il finit par se lever, croise les bras comme ci de rien n'était et s'en va.
Et moi je fais quoi, je reste comme un débile, couché par terre et sale comme un pou ?
Nan, mais, il est fou lui !

Pour me venger, je décide d'attraper soudainement sa cheville.
Et BAM, tu dis quoi là, mon vieux ?

Cette fois, c'est moi me relève, le regardant de haut.

- Pourquoi as tu fait ça ?

Je le regarde se relevé, se dépoussiérais et reprendre une bouteille d'eau par terre.

- C'est dangereux tu sais.

Et il dit ça d'une façon qui m'énerve.

- Et toi, j'aurais pu me faire très mal aussi, là tu disais pas que c'est dangereux...Sifflais-je entre mes dents, et aussi, quand une personne tombe de notre faute, on est censé demandé des excuses.

J'enlève ma veste et dévoile mon débardeur...qui est craqué.

- Suuuuuper...Soupirais-je, en constatant que le trou partait du haut de mon torse et finissait en bas à droite. De plus, après être tombé par terre sur le ventre, ma peau étais sale.
Je lança un regard noir à l'autre débile, bon, c'pas entièrement sa faute, mais faut bien me dégouler sur quelqu'un non ? Et mieux vaut que ce soir sur ce...Truc que sur une pauvre mémé sans défense.

- M'enfin, repris-je, je partirai pas sans avoir eu des excuses, après je ferais les miennes, si tu le souhaites.

Tien, alors comme ça c'est ma faute ? Tout ce que j'ai fait c'est me poser contre un arbre. Il avait qu'a éviter mon pied. Je ne lui ai pas demandé de venir s'étaler dessus. En plus il réclame des escuses. Mais, en le regardant de plus près, j'ai comme une impression de déja vu. C'est étrange, je n'arrive pas à me souvenir et pourtant je croi l'avoir déja croissé.

- Tu as de la chance, je ne frappe pas les enfants.

Je soupire, mais me rappel soudaiment de l'endroit où je l'ai croissé. Il est du gang Sakura ! Je ne m'attendais pas à en trouver un dehors aujourd'hui. Avec un peu de chance il ne m'a pas reconnu. Il faut dire qu'on ne s'est jamais vraiment parlé.

- Bonne journée.

Je repars vers le domaine famillial. Il vaut mieu que j'écourte ma sortie, j'ai besoin de me changer et de prendre un bon bain. J'espere qu'il fera meilleur demain. Je l'entends crier dans mon dos mais n'y prette pas vraiment attention. Je ne voudrais pas avoir à me battre par cette chaleure...

Je m'arrete un instant.

- Ah ! Aufait, tu devrais manger correctement, tu es vraiment maigre.

Puis reprend mon chemin.

Il resta silencieux quelques secondes.
Je ne sais pas trop pourquoi mais...Je ne sais pas, une sorte de tension, ou je ne sais quoi.
Il m'observait et j'avais presque l'impression qu'il pouvait voir tout de moi, j'étais mal à l'aise.


- Tu as de la chance, je ne frappe pas les enfants.

Je tilta, oubliant mon malaise et me mordit la lèvres.
Il soupira et commença à partir.
Youhou, aujourd'hui je fais la total, je suis une meuf sans poitrine et un enfant sans défense...

- ...Hey ! M'exclamais-je, histoire de retenire mon blond.

Je crois que je réussis, puisqu'il se retourne et déclare :


- Ah ! Aufait, tu devrais manger correctement, tu es vraiment maigre.

Je rougis et il part.
Nan mais ho...
Lorsque je le perds de vue, je décide d'y aller, " chez moi ".

Bon, c'est moi qui me colle le boulot d'espionnage, comme je dirais.
Effectivement, plus tôt, on m'a demandé de surveillé un chef d'un clan au nom de GoroPoro.
Ils sont sûrs que celui-ci va les trahir ,avec un clan ennemi, et me demande de le surveiller.

Comme je ne suis pas encore majeur, qui croirait qu'un " gosse " serait de la mafia, surtout du clan Sakura.
Aujourd'hui je la joue à la drague : Pantalon cuir noir et la veste qui va avec. ET les lunettes de soleils - qui servent à rien, mais bon.
J'entre dans l'hôtel-restaurant où le vieux doit être en compagnie d'un autre.
Je me mets pas loin d'un groupe de jeunes filles, elles viendront à moi, je le sais.
Malheureusement, je vois un membre du clan Ouji arrivait, je fronce les sourcils et suit sa direction : Pas très loin de l'autre pervers, qui attends encore.

Un serveur vint me voir et me demande ce que je désirais.
Je réponds du lait bien frais avec des croissants et du nutella ( oui, j'avoue que le coup du " tu es trop maigre " ) je l'ai quelque peu mal pris.
Le serveur me regarde comme ci je venais de Mars mais s'exécute lorsque je sors un bon gros billet.
C'est alors que les filles de la table voisine glousse, se lève et viennent vers moi.

- Bonjour, on peut se mettre à côté de vous ? ( ♥ )

Et voilà, je vais joué l'adolescent en sortie.
Pour réponse je souris et entend la porte claquait plusieurs fois.

Je cherche de l'œil discrètement et soupire.
D'autre membre du clan Ouji...
Serait-ce...Avec eux que le chef GoroPoro se serait...Le déchet...

Je me lève furieusement mais une fille m'attrape le bras, me demandant mon numéro avant de partir.

- Euh...Hum..J'ai pas de portable les filles, mais je reviendrais alors laissez moi partir.

Elle veut pas et pique sa crise, mais chiottes ! Faite taire cette dinde folle pourri & gâtée, si je me fais repérée...Trop tard...Cette débile a attiré tout l'attention.

Je n'avais vraiment pas l'envie de sortir aujourd'hui. Je pensais juste passer la journée à lire et me détendre, à l'inverse je suis trainé de force à un rendez-vous d'affaire. Tout ça pour assurer la sécurité du sous-boss. Si je pouvais je l'aurai moi-même déja tué. Enfin, je supose que je n'ai pas cent mille autres choix.

C'est donc à moitié endormis que je me rend sur les lieux. Tant de monde de si bon matin, c'est allucinant, les gens ne connaisse donc pas la grâce matiné ? Je deteste les endroit bondé de monde. J'entre donc avec quelques "collegues", ou plutôt "superieurs pour lesquel je n'ai aucune sympatie". Je marche assez lentement histoire de ne pas me montrer avec ses gens. Je pose mon derriere près du bar, croise les bras et baisse la tête.

Mais un bruit vient déranger mon sommeil prolongé. Ainsi qu'un coup de coude. Je releve la tête, un de mes superieur me demande de régler le probleme puis par se reclure avec les autres dans le carré. Quelle poisse, pourquoi c'est toujours à moi qu'on refile le sale boulot. Il peut pas s'en occuper ? En plus, manqué plus que ça, un groupe de filles hystérique. Je me décide à bouger et m'approche du groupe.

- Un probleme ?

Elles ont pas l'air d'avoir compris qu'elles génaient. Mais ce n'est pas tout, au centre je reconnait une tignasse verte. Qu'est-ce qu'il fait encore ici celui là ? En plus de ça il est vétue d'une façon plutôt étrange, enfin au moin cette fois ces vetements ne sont pas déchirés. Mais pourquoi je m'attarde la dessus moi. Je conversse un peu avec les demoiselles et finalement j'arrive à les convaincre de sortir, mais le bonhomme est compris dans le lot. Une fois dehors elles décident d'aller faire un tour. J'en profite pour allumer une cigarette. Seulement le petit bonhomme à l'air de ne pas avoir digéré le coup de la dernière fois.

- Qu'est-ce que tu fais ici ? Je ne savais pas que ce bar faisait passer des auditions aux hommes.

Ah ? Ma remarque n'a pas l'air de lui plaire.

- Cela dit, c'est quand même culotté. Te faire remarquer dans un endroit pareil, courage ou idiotie ? Hmm, ça demande réfléxion. Je me demande si il a des gens intelligent chez vous, il faut dire qu'employer des enfants pour ce genre de tache...

Tien ? Il à l'air surpris.

- Ne me dit pas que que tu croie que je ne sais pas qui tu es ! Sakura, n'est-ce pas ? Tu as de la chance d'être tombé sur moi.

Quelque chose comme "Je parle trop" m'était passé par la tête.

Bon, okay.
La prochaine fois que je dois faire ce genre de chose, soit je m'habille en fille, soit après être sorti de ce restaurant je vais faire un élevage de Lama rose au Pérou...Ou de grenouille...Ça se mange, les grenouilles ?

Soudain, les filles tournent la tête et moi je pose ma tête contre la table, elles en ont marre de moi ? J'espère, sale dinde rempli de maquillage...


- Un problème ?

Une voix suave, sensuelle...Aaah.
Les dindes, mécontente, s'en vont, en me foudroyant du regard.
C'est alors que le barman, mécontent, nous dit de sortir aussi.

Une fois dehors, le blond alluma une cigarette.

- Qu'est-ce que tu fais ici ? Je ne savais pas que ce bar faisait passer des auditions aux hommes.

Je serra mes poings et mes dents, ma mission quelque peu terminé j'enlevai ma **** de veste, enlève mes lunettes de mes cheveux et les " remets " en place.

- Cela dit, c'est quand même culotté. Te faire remarquer dans
un endroit pareil, courage ou idiotie ? Hmm, ça demande réfléxion.

Je soupira.

- Ce sont ces dindes en chaleur qui se sont fait remarqué, c'est pas facile d'être canon tout les jours tu sais..

Et il reprit :

- Je
me demande si il a des gens intelligent chez vous, il faut dire
qu'employer des enfants pour ce genre de tache...

Qu'est-ce...
J'hausse un sourcils. Que veut-il dire pas " chez vous " et " ce genre de tâche " ?

Oh non..Ne me dite pas que...
Ses cheveux blonds portait une petite couronne..BORDEL !

- Ne me dit pas que que tu croie que je ne sais pas qui tu es ! Sakura, n'est-ce pas ? Tu as de la chance d'être tombé sur moi.

J'aurais bien voulu me claquer la tête face au mur, mais j'aurai l'air débile.
Mes poings se serrent encore plus.

- Pfiou, je savais pas qu'il engageait n'importait chez les Ouji, non plus...Dis-je de manière insolente, m'enfin..Je ne vois pas le fait d'être chanceux si c'est pour tombé sur quelqu'un comme toi, ou alors tu n'as qu'a le prouvait, j'aimerais voir ça.

Bon, j'avoue, j'avais un peu peur, si on voyait un membre Ouji & Sakura ne serait-ce que discuter ensemble...

Je ne me considere pas comme une mauvaise personne. Si il avait rencontré un de mes "gentils amis" il n'aurait pas fait autant le fiere. J'abaisse le torse pour que mon visage se retrouve en face du sien.

- Je me demande bien, comment je pourrait te prouver ça ?

Je prend ma cigarette en bouche et lui soufle un petit nuage de fumée sur la figure. Je croi bien qu'il m'amuse ce gamin. Mais vraiment, quel gachi. Son mauvais caractère et son air de petite terreure, ça ne lui va pas du tout.

Je me redresse et croise à nouveau les bras.

- Tu n'as pas quelque chose à finir ?

Je pointe alors du pousse l'entrée du bar dans mon dos.

Je le regardai quand il approcha son visage du mien.
J'étais un peu plus petit que lui donc voilà...
Mais..Je me sentais serré...Enfin...Comme si j'étais dans une sorte de cage, et je ne sais trop pourquoi, j'avais eu soudainement chaud.

- Je me demande bien, comment je pourrait te prouver ça ?

Il m'envoya de la fumée dans le visage, ce qui me fit toussé et j'eus les larmes aux yeux.

Il se redresse tranquillement et croise les bras.

- Tu n'as pas quelque chose à finir ?

Il pointait le bar derrière.
Ah..C'est vrai.
Je soupirai, encore.

- Je n'ai vraiment plus de motivation...Et puis, tant que nous parlons...Si tu es du clan Ouji tu pourrais toi même me donné réponse, non ? Déclarais-je.

L'odeur de fumée semblait resté, et c'est pour cela que je sorti une sucette de ma poche de mon pantalon, une sucette à la fraise ~ ♥

Quelle assurance, il parle serieusement ? Mais qui a bien pue éduquer ce gosse. Il n'a vraiment aucun respect pour ses ainés.

- Hm, tout travail demande salaire.

La cigarette à peine entamé, finit sur le sol piétiné puis fût envoyé plus loin par mon pied. Je n'arriverai donc jamais a en finir une ? C'est quand même pas si compliquer. Mais, je n'ai pas envie de me brûler...Enfin, revenons à nos moutons.

- Si tu veux des informations, tu va devoir trouver mieu. Je n'aime pas vraiment mon clan, mais, si j'ai l'occasion de les trahir, encore faut-il que cela me soit bénéfique tu ne croie pas ?

J'eu un petit sourir. A cette heure ci les affaires devait courir bon train à l'interieur. Ou bien, ce gros rigolo de GoroPoro serait à terre entrain de suffoquer une balle dans le genoux et une autre dans l'épaule.

- Hm, tout travail demande salaire.

Mes dents se resserre sur la sucette qui s'éclata en morceau dans ma bouche.
L'Ouji ne finit sa cigarette : Il la jeta par terre et l'écrasa.

- Si tu veux des informations, tu vas devoir trouver mieux. Je n'aime
pas vraiment mon clan, mais, si j'ai l'occasion de les trahir, encore
faut-il que cela me soit bénéfique tu ne croies pas ?

- Hum...Je vois...

Tandis que moi, je balança le bâton de sucette par terre et fouilla dans ma poche arrière de mon pantalon.
Deux sucettes.
Je lui en tendis une et mis directement l'autre dans ma bouche, après avoir enlevé le papier.

- J'ai, absolument, pas envie de retournait dans ce bar, soit...Tu pourrais me donner des informations..Et je te ferais cadeau de chose que tu veux, cela te parait assez " honnête " ?

Je suis tombé sur quelqu'un d'intéressant, en fin de compte.
Et je souris.

Voila qu'il me tend une sucrerie, il croit que que j'ai quel age ? Comme on dit : C'est l'intention qui compte. Je saisi la sucette que je met dans une de mes poches après observation. Ce que veux ? Hm, à vrai dire, je n'ai pas de choses présises en tête. Je me suis toujours contenté du stricte minimum. C'est assez ironique pour quelqu'un de mon rang.

- Il faut que j'y réfléchisse.

En jetant un regard vers le bar je voie quelques un de mes camarades s'appréter à sortir. Presque automatiquement, je saisis le vert par les épaules et le place dans mon dos. L'un d'eux me fait un signe de la tête, vous savez, ce hochement qui veut dire "on y va". Je répond à mon tour par un hochement de tête de haut en bas, puis j'attend un peu qu'ils se soient éloignés et me tourne à nouveau vers lui.

- On dirait que mon travail ici est terminé.

Je réfléchis une seconde, je pense qu'il est temps que je m'amuse un peu. C'est pas tous les jours le cas.

- Hm, ce soir, rends toi au domaine des Ouji. Si tu trouve ma chambre sans te faire voir, je te dirais ce que je sais.

Je repars alors les mains dans les poches, mais me stope a nouveau.

- Aufait, tu ferais bien de ne pas te tromper. Mon voisin adore les crevettes dans ton genre, il ne ferait qu'une bouché de toi.

Puis me remet en marche.

Il mit la sucette dans sa poche.
Il y eu quelques secondes de silence et il ouvrit la bouche.


- Il faut que j'y réfléchisse.

Alors que j'allais répondre, il pris mes bras et un petit cri sorti de ma bouche, il me cacha dans son dos et je reconnu les voix des Ouji.
Il sembla hocher la tête et attendis que ces compères furent plus loin.

Je me massais le bras.


- On dirait que mon travail ici est terminé.

Il sembla réfléchir et fini par dire :

- Hm, ce soir, rends toi au domaine des Ouji. Si tu trouve ma chambre sans te faire voir, je te dirais ce que je sais.

- Quoi ?! M'exclamais-je.

Il se retourna, un sourire aux lèvres.

- Au faite, tu ferais bien de ne pas te tromper. Mon voisin adore les
crevettes dans ton genre, il ne ferait qu'une bouché de toi.

Je rougis fortement...il parlait de...Enfin de...AAAH ! Mais comment je...Ooh..Si tu veux jouais à ça, tu vas voir, Ouji...

D'ailleurs...Je ne connais pas son prénom...Ah...M'enfin...
Et il parti...
Je soupira, réfléchissant à comment je ferais...

Une fois rentré, la seule idée que j'avais en tête était de finir ma nuit. Je trainais donc des pieds jusqu'à rejoindre ma chambre, et une fois à la bonnes distance du lit, je me laissais tomber dessus. Les bras et les jambes façon étoile de mer.

Je me demande si il va venir ? Ce serait vraiment drôle. De tout façon, son travaille est d'éspioner les gens, non ? Pourquoi il n'arriverai pas à s'infiltrer ici ? Un leger soupire sortis et ma main droite fit un détour par ma poche. Quel gout ça peut avoir cette chose. C'est sucré, mais...c'est tout ce que je sais. Je n'ai jamais vraiment aimé ce genre de friandise.

J'ouvrit alors un tiroire près de mon lit, là où je range les choses "utiles". Comme mon revolver, mon briquet fétiche, et bien d'autres choses. C'est au milieu de toute ces choses que ce retrouva cette fameuse "sucette". Bien, il est venu le temps de dormir.

~ [19h40] ~

Quel bon bain et quel bon repas, je suis calé. Tout ça aux frais du boss. Je n'aime pas ses gens mais, qu'est-ce que j'aime cet endroit ! J'ouvrit ma penderie et en sortis un yukata noir que j'enfila sur le champs. Heuresement que je ne travaille pas de nuit. Le soir, il commence vraiment à faire lourd en été.

Hm, après avoir dormis toute l'aprés-midi, je n'ai plus du tout envie de me coucher. Je pris donc mon paquet de cigarette dans la poche de ma veste ainsi que mon briquet. Et alla poser mes fesses sur le balcon commun. J'allumais donc une première cigarette dans l'espoire de la finir.

Après être rentré dans la demeure, j'avais changé de vêtement, on me demanda comment cela s'étais passé et j'ai répondu que j'avais une piste.
Ils voulaient m'en demandé plus mais je refusa.
Toute la soirée, pendant le repas, les blagues des autres, les festivités...Je n'ai pensé que à " comment infiltré les Ouji " et si je me faisais prendre...
Je partis à 19h50.
J'étais habillé d'un short long et d'un débardeur beaucoup trop grand.
Il faisait chaud et je n'allais pas m'habillai à la je ne sais quoi.

Vers 20h10, j'étais pas loin de la demeure des Ouji.
Il faisait assez noir, donc les membres ne me reconnaitrait pas, tant que je reste dans l'ombre.

Les portes étaient, mystérieusement, grandes ouvertes.

- Et...Zut.Ce serait trop facile...

Je jeta un coup d'œil à gauche, à droite...Je vais passer par derrière, je grimpais dans un arbre et voilà.
Bon...Comment je vais retrouvais sa chambre, à l'Ouji...C't'un comique lui...

Je soupira et descendis de l'arbre mais je n'atteri pas par terre.

- CHIOTTE ! M'exclamais-je, j'étais tombé dans une poubelle.

Ca fait plaisir. Mais mon cri avait résonnait et j'entendis des bruits de pas.
Je m'accroupis dans les déchets.

- Je suis sûr que c'est ici...
- Tu as trop bu, je pense...
- Ouais, ouais...Sûrement, bon, on y retourne...

10 minutes pour partir...Pfiou.
Je bougea mais je sentis un truc poilu : Un chat de gouttière me cracha dessus, me griffa la jambe et parti.

- Quelle belle soirée ♥ dis-je ironiquement, sortant de la poubelle.

Je devais puais, et pas qu'un peu, avec de la chance, les membres du clan s'évanouiront à mon passage.
Je me mis à marché le long de l'immense maison.
Le noir m'aidait et je pu me cachait lorsque le besoin se faisait sentir.
J'entrai par une porte qui menait au cuisine.
Je n'avais pas manger et les odeurs me tentaient mais le cuisiner me fit rappeler ma présence ici.
Je chercha à droite, à gauche et décida de me cacher derrière le frigo.
Par chance, je ne me fit pas prendre, je tremblais.
Si je me faisais prendre...

J'attendis quelques minutes et sorti de ma cachette.
Par chance, les hommes se saoulaient et je pu passait devant le salon pendant qu'ils chantaient et dansaient la macarena.
Bon...Maintenant, il suffisait d'ouvrir les chambres une par une.

Bon, j'ouvris la première.
Rien, miracle.
Je referma doucement et ouvris la deuxième.

- PUTAIN ! BANDE DE TAPETTE ! LAISSER MOI DORMIR EN PAIX !

Je referma vite fait, espérant qu'il eu crû que j'étais bien un Ouji.
Et je puais, mon dieu...J'espère que le blond aura une bonne raison de m'avoir fait de p*tain de chemin !

J'avais les larmes aux yeux.
J'allais tombé sur un fou sadique psychopathe...
Quoi que...Je crois que c'est le blond...

J'ouvris une porte grand, en soupirant.

- HEY ! T'es qui toi ?!

Je leva ma tête..Un mec à poil entrain de se sécher les cheveux.

- Euh...Je suis de passage...Je.
- Hé ! Mais..HEY LES GARS ! Y A UN MEC !

Je referma la porte et parti me réfugiait dans la chambre tout au fond du couloir.
Souvent, ces pièces là sont les toilettes ou je ne sais quoi.
J'entendis des bruits de pas, et merde, la pièce était dans le noir complet, je puais la poubelle et je m'étais fait repairé par un mec à poil et sobre.

Voila bien 20 minutes que je suis allongé là, en regardant le ciel. Et je dois avoué...Je n'ai toujours pas envie de fermer l'oeil. Je n'aurais suremment pas dû dormir autant. Je decide donc de me lever et de retourner dans ma chambre, didonc, c'est quoi ce bouquant dans les couloirs. Comment je suis sencé retrouver le repos avec ce bruit !

J'ouvre ma porte et jette un oeil à l'exterieur. Qu'est-ce qu'ils foutent. J'en entend un gueuler "Ya un type bizarre ! Je l'ai vu passer ! Il est là-bas !". Un type bizarre ? Ah ! Mais, c'est peut-être le petit vert. Alors comme ça il aurait réussi à rentrer ? ...Seulement, il a pas était très discret.

Je sors, ce serait dommage qu'il se fasse avoir arrivé là. J'avance vers le fond et me fait une place à travers la masse qui s'est formé devant le depot. J'entre mais par précaution n'allume pas de suite la lumiere. Il faut avant tout que je dissipe la foule.

- Ah ! J'y pense, tout à l'heure le boss a dit qu'il offré une promotion à celui qui irait lui acheter un paquet de chips. Mais pas n'importe lesquel...ces préféré...hm, quel gout déja ?

Les voila affolé à éssayer de se remémorer le parfum préféré du boss. L'un d'eux part alors en courant et les autres suivent. Bon, ça devrait faire l'affaire. J'allume la lumiere et repere de suite petit bonhomme dans le coin de la piece. Je voulu m'approché...mais...

- Ouh ! Quelle odeure...

C'est lui qui sent comme ça ? Mais il est tombé dans les poubelles ou quoi pour sentir aussi fort. J'arrive tout de même à l'enmener dans ma chambre mais un de mes collegues arrive à ce moment et maintient qu'il a vu quelqu'un entré. Je me cale contre la porte et avec une main je me lance dans l'art des signe. Deux batemment vers le poigné puis l'index levé je pointa mon lit.

Cette série de signe voulait dire quelque chose comme "Va te cacher sous le lit". Une fois que j'en fût assuré, l'autre pu entré et ne remarquant rien d'anormal s'éclipsa. J'eu un soupir de soulagement avant de refermer ma porte, au verrou, juste pour être sûr.

- Et bien, quel discretion...

Wow...tout est aller vite, le blond m'a repérer..et même senti.
Cependant, lorsqu'il m'emmenait dans sa chambre, quelqu'un étais venu.
Il me fit signe d'aller sous le lit et je me précipita me cacher.
C'est assez stressant de voir les pieds de l'ennemi lorsqu'on essai de se cacher...
Pis ils disparurent, les pieds.
Je soupira.
L'Ouji ferma la porte à clé et je sortis de ma cachette.

- Et bien, quel discrétion...

- Ouais bah, désolé de pas connaitre la maison des Ouji par cœur,surtout que maintenant je pue le rat mouillé...

Je regardai la chambre en question, ouais, une chambre simple, comme tout le monde quoi...Puis je repris :

- C'est comme ci je t'offrais 100 coffres, un seul contient un trésor et tu dois le trouvé sans avoir d'autre chance...Murmurais-je.

Hum..Je l'examina de plus près et vit qu'il étais habillé d'un yukata noir, ce qui lui aller plutôt bien..M'enfin, là n'est pas le sujet !

- Et donc...J'espère que tu avais une bonne raison pour me faire tout ce fameux chemin..?

Doit-je comprendre qu'il me compare à un trésor ? Enfin peu importe. Mais quand même, il aurait pu m'attirer pas mal d'ennuie, il faudrat que je soit plus prudent la prochaine fois. Je pousse un loooong soupire quand il me parle de la raison pour laquelle je l'ai fait venir ici.

Je fait quelque pas pour arriver devant mon tiroire, je l'ouvre et en sort une lettre. Je la glisse entre les main du petit Sakura et retourne près de mon lit pour m'y assoire jambes croisé.

- C'est une copie du contrat qui lie GoroPoro et les Ouji. Je ne sait pas exactement mais je croie que ça concerne un trafique d'arme, il semblerai que GoroPoro serve d'intermédiaire.

Je ne m'interesse pas vraiment aux activités des Ouji, je fais se qu'on me dit quand on me le dit. Mais, il est facile de dénicher des informations ici, surtout qu'à table, d'autre n'ont pas leur langue dans leur poche.

- Bien, je supose que j'ai assez donné. Et croie moi, ceci vaut de l'or. Alors comment compte tu payer ta dette ?

Il poussa un long soupire.
Tiens, on pourrait faire un concours avec tout ces soupirs...
Il se dirigea vers un tiroir, l'ouvrit et sortit une lettre.
Il revint vers moi et me les donna. Je l'examina pendant que mon ainé parti s'assoir sur son lit, jambes croisés.

- C'est une copie du contrat qui lie GoroPoro et les Ouji. Je ne
sait pas exactement mais je croie que ça concerne un trafique d'arme,
il semblerai que GoroPoro serve d'intermédiaire.

Bon, j'avoue qu'en lisant la lettre je regardais du coin de l'œil...M'enfin ! Qu'est-ce que je raconte moi !
En plein lecture il ininterrompue.

- Bien, je suppose que j'ai assez donné. Et croie moi, ceci vaut de l'or.

Je souris à cette phrase, il est vrai que cela aller être ma plus grande réussite ♥

- Alors comment compte tu payer ta dette ?

Et...Et crotte...C'est vrai que maintenant...

- Euh...Pour être honnête, j'y ai pas vraiment pensé...M-Mais...Enfin...Si il y a quelque chose que je puisse faire maintenant, je l'exécuterais ! Dis-je, déterminé.

Il fallait absolument que je parte sain et sauf et avec cette fichue lettre.
Je le regarda, attendant sa réponse, quelque peu impatient.

Hmm, ce garçon n'a vraiment aucune imagination. Je soupira à nouveau et posa mon coude contre mon genoux et la paume de ma main contre ma joue. Il a intoxiqué la piece avec cet odeur...Je ferait mieu d'ouvrir avant de finir intoxiqué. Je me leve pour ouvrir la porte-fenetre qui mene au balcon.

- Hmm, il fait vraiment lourd.

Bon, plus important, qu'est-ce que je pourais lui demander. Je pensais qu'il ferai quelque chose de lui même mais rien. Je retourna me poser sur le lit en trainant des pied. Cette fois couché sur le flan, le buste relevé par le fait que mon coud soit contre la couette du lit et mon poing serré maintenant ma joue.

Je siflottais, en réfléchissant. Puis dans un élan.

- Amuse-moi, petit vert.

Je m'ennuis tellement ici. Même les missions qui me sont confié sont toute aussi barbantes les unes que les autres. C'est assez agassant. Il ne semble pas comprendre. Je reprend avec le sourir.

- Amuse-moi d'une maniere ou d'une autre.

- Hmm, il fait vraiment lourd.

Il avait dit cela en ouvrant la fenêtre..
Je sais que je pue, merci de me le rappeler...

Bon, vous allez me traitez de maniaque mais...Pendant qu'il retournait à son lit, je cherchais les douches, nan, sans blague, je puais mais pire qu'une déchèterie...

- Amuse-moi, petit vert.

H..Hein ?

Il sourit de plus belle.

- Amuse-moi d'une manière ou d'une autre.

E..E..Non..Enfin..Il...J'avais chaud, je suis sûr que je devais rougir, nan mais, Fran, arrête de te faire des idées, voilà, respire...
Je me mordis la lèvre et déclara :

- H..J..Je..., petit silence de ma part tandis que je sentais son regard perçant, je...J'aimerai prendre une douche si possible avant de...Enfin..De..De vous.." A..Amusé..."

Mes mots s'emmêlaient et j'étais troublé.
Est-ce qui avait dit ça pour...Ou alors c'est moi qui...
Ah..Je suis paumé de chez paumé !

Il lui arrive quoi ? C'est comme si il allé étouffer. Pourtant l'instant d'avant il est était tout à fait normal. C'est ma demande qui le dérange comme ça ? A quoi il pense au juste...Il veut prendre une douche ? Je me redresse. C'est pas une mauvaise idée. Il dégage une de ces odeure...

- Tien, tu me vouvouie maintenant ?

Il ne fait plus sa mauvaise tête on dirait. Tant mieu, c'est beaucoup mieu ainsi. Je me leve et ouvre la porte de la salle de bain.

- Très bien, je t'autorise à te laver. Ne salis rien.

Je me r'assoie sur mon lit, mais avant qu'il entre je lui demande son nom. Fran ? Je n'ai jamais entendu un nom pareil. Je supose que c'est un nom spécial pour une personne spécial. Ou alors, un nom idiot pour un idiot. Ce qui marche aussi bien.

Au bout de 10 minutes passé à lire des articles de revue je commence à m'impatienter.

- T'en met du temps...Je m'ennuis térriblement !

- Tien, tu me vouvouie maintenant ?

Je ne répondis rien, et le vit ouvrir une porte qui menait à la douche.

- Très bien, je t'autorise à te laver. Ne salis rien.

Je m'inclina légèrement, le remerciant quand il me demanda mon nom.

- F..Fran...Dis-je, la tête baissé.

Ah, que se passait-il ? J'étais intimidé par...Je n'osa pas demander son prénom en retour et m'enferma dans la salle d'eau.

Je me déshabilla, examinant la salle, ce qui est débile, toute les salles d'eaux sont authentique, enfin. Une douche, et des fois les toilettes.
une fois nu, j'allumai sous le jet et me mis dessous.
Je soupira de bonheur, et son visage vint à mes pensées...

" Amuse-moi d'une manière ou d'une autre. "

- Parlait-il...de " ça " ?...Murmurais-je pour moi, regardant mon entrejambe...

Non, non, non, non !
C'est..Nan, NOUS somme des hommes..Mais...
Ma tête étais vide, et j'hésitais, c'est la première fois que je sentais ce besoin.
J'ouvris les yeux.

- Devrais-je...?

Je me mordis la lèvre, tandis que ma main se dirigeait lentement vers mon sexe.
Lorsque je sentis la pression sur mon anatomie, j'hésitai encore...
Et zut.
Je commença par un léger mouvement de vas-et-vient.
J'avais déjà chaud, les yeux fermés.
Et rien que savoir qu'il étais dans la pièce voisine ne faisait qu'augmenté mon plaisir, qui se faisait sentir.
J'étais pathétique...Fantasmer sur un homme, du clan Ouji, qui plus est.

Et c'est sur une idée du corps nu du blond, dont je ne connaissais même pas le nom que je joui, me mordant la lèvre inférieur pour éviter les gemissements.

Je me re-lava et pris une serviette, j'avais un gout de sang dans la bouche..Ah

- J'arrive pas à croire que j'ai pu...Hmm...

Bref, ce qui est fait est fait, je mis une serviette autour de mon anatomie et ouvrit la porte, honteux, la tête baissait et le rouge aux joues je lui demanda.

- hum..Je pourrais avoir d'autre vêtements, si ca te dérange pas, enfin, je veux dire..que mes vêtements sentent la poubelle et donc ce serait idiot de les remettre...

Soudain j'entend la porte grincer, le voila enfin sortis. Il y aura le temps en tout cas. Des vetements ? Il croit vraiment que j'ai des vetements à sa taille ? Je me relevais donc pour la énieme fois et me dirigea vers l'armoire ou je range de quoi me vetir.

Après une legere fouille je saisit une chemise blanche. Ca devrait sufire, de toute façon, le bas serait bien trop large pour lui. Je revient vers lui pour lui tendre la chemise mais au moment de la lui donner, mon bras rebrousse chemin.

- Je n'ai pas entendu, escuse-moi ?

J'attendais le fameux "merci", qui ne tarda à faire surface, d'une façon charcuté et presque pas audible. Je lui donne enfin la chemise en vérifiant l'interieur de la piece.

- Tu n'as rien salis j'espere. Si non, j'ai une vieille brosse à dent dans le coin qui ne demande qu'a être utilisé.

J'esquissa un leger sourir puis retourna m'installer sur le lit. Sur le ventre pour pouvoir plus facilement tourner les pages de la revue posé dessus.

Il fouilla quelque instant et me tendis une chemise blanche, trop grande pour moi.
Il rebroussa son bras et me dit :

- Je n'ai pas entendu, escuse-moi ?

Je marmonna un " Merci ".
Il me donna la chemise et passa une tête pour voir si la salle de bain étais sale ou autre.

S'il savait...

- Tu n'as rien salis j'espère. Si non, j'ai une vieille brosse à dent dans le coin qui ne demande qu'a être utilisé.

Gloups.
Je me raidis et fit un sourire irrité.

Je regardais le sol et sentit qu'il allait sur le lit.
Je retourna dans la salle de bain, vérifiant tout puis enleva la serviette pour enfiler la chemise.
Et effectivement, elle étais grande.
Seul le bout des doigts dépassait des manches et la chemise me tombait jusqu'aux haut des genoux.
Youpi. Qui dit vêtement blanc et caleçon noir dit : Mélange.
Rho, tant pis, il a des caleçons lui aussi, c'pas comme ci..M'enfin.

Je sortis de la pièce et le vis lire un magasine.
Je racla ma gorge légèrement et dans un élan de courage ou d'idiotie ( comme dirait-il ) j'osai demander.

- Hum..Que..qu'est-ce que je dois faire pour vous amusez ?!

Je l'entend enfin sortir, mais n'y jete pas un seul regard. Pas que la revue soit plus interessente ou quoi que ce soit mais, je ne sait pas, à ce moment là je ne l'ai pas fait. Voila qu'il m'adresse la parole, tout ça pour me demander ce qu'il doit faire.

Je réfléchis longuement le faisant patienté, là, débout, comme un idiot. Puis finalement je rabatis la couverture du magazine, croisant les bras sur ce dernier.

- J'ai mal...

Avec mon pousse j'indiquais la zone en question. Mon dos.

- ...Ici.

Puis posant ma tête sur mes bras je dis d'une voix étouffé.

- C'est vraiment doulereux, si seulement quelqu'un savait quoi faire.

Accentuant ma comédie par des petits gémissements.

Quelques minutes passèrent et j'étais là, attendant une réponse.

- J'ai mal...

Je sursauta légèrement, le silence commençait à se faire habituelle.
Son pouce montra la zone où la douleur se faisait sentir.

- ...Ici.

Son pouce finit par montrer son dos.
Il posa sa tête sur ses bras et dit :

- C'est vraiment douloureux, si seulement quelqu'un savait quoi faire.

Je pouffa de rire.
Ok. S'il veut un massage.

Je m'approcha du lit et fit le tour.

- Hum..Je te préviens, si tu as encore plus mal après, ne m'accuse pas.

Je me permis de m'assoir au bas de son dos pour commencer le massage.
Je commença par les épaules, quelques peu gêné et mes mains descendirent, descendirent, et remontèrent. Mes mains voyageaient sur son dos.
Je ne savais pas si ça lui ferait quelque chose mais qu'importe, après ça, je repartirais... ( En chemise blanche ? ) dans ma demeure...Et je lui demanderais son prénom, aussi, ça peut servir.

Pourquoi se met-il a rire comme ça, ce n'est vraiment pas marrant. Si je pouvais le faire seul je ne lui aurais pas demandé. Je me sens pas vraiment rassuré tout à coup, qu'est-ce que ça veut dire "si tu as encore plus mal après..." ? J'espere que c'est une blague.

Le voila qui commence. Je ne dit rien pendant la premiere minute, essayant tant bien que mal d'apprécier ses gestes. Mais quel empoté quand même.

- Applique-toi, Fran.

Je risque vraiment de m'endormir à force. Enfin, je pouvais pas non plus m'attendre à l'extase. C'est qu'un gosse après tout. Je gonfla mes joues et soufla assez fort pour montrer mon ennuis. Il est aussi ennuyeux que cette revue...

- Essaie d'y mettre un peu de sentiment.

Je ferma les yeux, esperant que la suite subirai quelques améliorations.

- Applique-toi, Fran.

Que veut-il que j'y fasse, je suis pas masseur professionnelle. Mon métier, à l'origine c'est faire du mal aux gens, pas leur bien-être.

- Essaie d'y mettre un peu de sentiment.

Et il soupire fortement.
D'ailleurs, moi aussi je soupire, suivis d'un bâillement.
Y mettre du sien ?
Personnellement, s'il veut que j'y mette du sien ce serait plus...Ah, non, non, qu'est-ce qu'il t'arrive Fran ?! Reprends-toi face à l'ennemi.
L'ennemi ?
Je secoue ma tête et demande.

- Humm, je suis trop nul pour les massages, je pourrais pas faire autre chose, ou je ne sais quoi ?

Mais bien qu'en parlant, je force plus sur la pression de mes mains.

Il est nul ça oui, mais il le reconnait c'est déja ça. Il n'empeche que je n'ai pas autre chose à lui faire faire. Et j'aime les massages, quand ils sont bien fait. Je tourne lergerement mon visage vers lui.

- Que croie-tu pouvoir faire d'autre pour me rendre service ?

Il n'y a rien d'autre, donc qu'il continu son massage. Je fais tout ce que je peux pour rendre ce moment agréable, mais voila, rien y fait. Le fait qu'il soit un Sakura ? Non, je ne croie pas. Suremment le fait qu'il soit si jeune.

Quoi qu'il en soit je ne peux me contenter de ça ! Je me redresse un peu et retire mes bras des manches de mon vetement. Bon esperont que se soit déja mieu que par dessus le tissu.

- Ne te déconcentre pas. Tu es loin d'avoir payé ta dette.

Je recouche ma tete sur mes bras, ou plutot ma joue gauche. Comme cela je peux apercevoir l'exterieur. En parlant de ça, la porte-fenetre est encore ouverte. Hmmm...

- Dis moi Fran, pourquoi tu ne tente pas de t'enfuir ?

- Que croie-tu pouvoir faire d'autre pour me rendre service ?

Rien d'autre...Hormis des trucs simples comme nettoyer la chambre ou je ne sais quoi.

Soudainement, il se redresse pour enlever ses bras des manches du Yukata. Pour me permettre de masser sur son dos, enfin, pas à travers le tissu de l'habit.
Je..Je vais essayer de faire de mon mieux..Toute façon, c'est le seul moyen, je crois ?

- Ne te déconcentre pas. Tu es loin d'avoir payé ta dette.

Merci de me le rappeler...

- Oui, oui, murmurais-je, regardant l'enveloppe posait sur la petite table de nuit.

- Dis moi Fran, pourquoi tu ne tente pas de t'enfuir ?

Je tressailli.
Je remonta les manches de la chemise et regarda dehors, arrêtant de masser.

- Oh..He bien...Je suppose que si c'était le cas tu me rattraperais facilement, et je me retrouverais avec la famille Ouji sur le dos, et si ma famille le découvrait...Je pense que je pourrais dire bonjour au torture ou je ne sais quoi, puis...

J'hésite quelque instant, maintenant qu'il le demandait...

- Peut-être le fait que j'aime ce que j'appellerais l'action, le danger...Ou alors le fait que je ne fuis pas..M'enfin...Pas très intéressant, je suppose.

Et je continua de faire ce qu'on pouvait appeler le massage.

Il est étrange ce garçon, il a beau être un enfant il n'en reste pas moin interessent. Mais pourquoi croit-il qui j'irai le dénoncer alors que je cache sa présence ici. Il se méfie encore de mes réelles intentions ? D'une façon assez abile j'arrive à me retourner pour me mettre face à lui. Me maintenant redréssé par mes bras.

- Pourquoi est-ce que j'essairai de te ratraper ? Après tout, tu es nul en massage.

Je souris et releve mon visage pour regarder le plafond.

- Cela dit, c'est vrai que j'apprécie ta compagnie.

J'abaisse à nouveau mon regard vers lui et pose une main sur sa tete histoire de chopper une meche.

- Mais si tu veux partir maintenant je ne te retiendrai pas.

J'approche mes levres de son oreille et chuchotte.

- Tu n'aura qu'a payer en plusieurs fois. J'aime que les bonnes choses durent...

Je rougis fortement. Oh mon dieu. Oh mon dieu. Pas que je sois vierge mais...
Je secoue ma tête légèrement.

Ce " Tu n'aura qu'a payer en plusieurs fois. J'aime que les bonnes choses durent... " dans mon oreille...
Mais...


- Oh.." J'aime que les bonnes choses durent ", dois-je en déduire que tu me trouves cool, sympa, agréable ou je ne sais quoi ?

Je souris, je m'étais bien trompé sur son compte. Il est peut-être un membre du clan ennemi " number one " de mon clan, mais ça ne l'empêche pas d'être gentil. Quoi que, c'est pas parce qu'il est forcement pas de mon " côté " qu'il est méchant.

- Mais...Tu...Tu as dis que je massais mal, certes, c'est vrai mais alors pourquoi voudrais-tu que je paies en plusieurs fois, enfin, si c'est si mauvais, autant en finir, non ?

Je ne dirais rien sur notre position, qui est..." Hummm " de mon point de vue...

Cool ? Sympa ? Hmm, je ne sais pas vraiment. Je sais juste qu'il est different des personne que j'ai pu rencontrer jusqu'à aujourd'hui. J'aime le changement, la nouvauté, la surprise. Et je pense que c'est ce qui me plait en lui. Pourtant, les enfants, je n'aime pas ça.

- Tu masse vraiment comme un pied. Tellement mal que ça en est mignon.

Mes bras fatiguent...Je recule afin de pouvoir m'assoire. Il a l'air vraiment opréssé, ou mal à l'aise, c'est assez frustrant. Pourquoi il n'est pas détendu, quand il s'agit de faire la tête il n'est pas du tout géné.

- Mais si tu ne désire pas de crédit, il va faloir tout donner d'une seule fois, et je ne peux pas me contenter de tes malheureux massages. Je n'ai absolument rien sentis.

Une legere impulssion de ma main sur son torse pour le faire tomber. Cette grimace sur son visage, qu'est-ce qu'elle veut bien vouloir dire ? Je me redresse pour amener mon visage près du sien.

- Je crois que je vais devoir prendre les choses en mains ou bien je ne serai jamais satisfait.

Doucement je pose mes levres près de son oreille, descendant lentement vers son cou, déversant une serie de micro-baiser sur ce dernier. J'ai pas envie de l'affrayer, c'est quand même un gosses. Et si jamais il se met à gueuler il va attiré l'attention des ploucs d'à côté. Ce serai bête...

J'eus rougis lorsqu'il me dit " mignon ".
Un garçon n'est pas mignon, c'est plus pour les filles, je crois ?

Il me poussa, et je tomba légèrement sur mes fesses. Ah, son toucher...Merde, Fran, pense à autre chose...

- Je crois que je vais devoir prendre les choses en mains ou bien je ne serai jamais satisfait.

Je ne compris pas trop sur le coup, mais lorsque sa bouche se posa près de mon oreille pour descendre dans mon cou, je tilta et m'exclamai :

- Tu es gay ?!

Après quelques secondes de silence, je regrette un peu. Et tente de me reprendre.

- Enfin, non...Je voulais pas dire ça, enfin..non, non, ca me gêne pas mais...Enfin, je sais pas, t'as peut-être une petite copine, ou un copain ! Je...Je sais pas ...Puis...

Ah ! Qu'est-ce que je voulais dire ? Idiot, t'es qu'un idiot.
Je prends ma tête dans mes mains, confus et murmure :

- Ah...D-Désolé je ne sais pas ce que...Je disais...Enfin..., je me sentis rougir pour ce que j'allais dire et je murmura plus pour moi que pour lui; tu peux...me faire payer en une fois.

Voila pourquoi je n'aime pas les gosses. Ils se posent beaucoup trop de questions. C'est vraiment agaçant. Mais je n'ai pas envis de m'enerver, ou peut-etre que je n'en ressent pas le besoin avec lui. Il à l'air d'ailleur de regretter ce qu'il a dit. Je ne sais pas pourquoi mais ça réaction enclenche en moi un petit rire.

Voila qu'il se cache maintenant. J'attrape ses poigné de mes mains et dégage son visage.

- Tes réactions montre que tu es nerveux. Mais je veux que tu te detende...

Lentement je prend posséssion de ses levres, ses tremblements me dérange un tentiné, mais je ne peux pas lui en vouloir. Je pense que son cas est vraiment particulier, je n'aurai pas agis si calemement normalement. Je relache ses levres un instent.

- Cela t'éffraie t-il qu'un homme te regarde avec désire ? J'avais cru voir en toi un peu plus de maturité...

Il a l'air vraiment paniqué. C'est embétant. Si il n'aime pas ça c'est embétant...Mais je ne vais pas m'arréter là. Après tout c'est lui qui voulais payer en une fois. Je déboutonne le premier bouton de la chemise blanche, qui d'ailleur est ma chemise.

- Il va faloir que je te calme par mes propres moyen, mais ça s'avere plus dur que prévus. Si seulement tu me donnais un coup de main. N'oublis pas ce que j'ai fait pour toi, cette lettre pourais m'attirer de graves ennuis tu sais.

Puis un deuxieme boutons, et un autre baiser, alternant ainsi jusqu'à avoir entierement déboutonné cette fameuse chemise.

Le désir. La passion. L'obsession.
Ces sentiments en moi qui me tambourine, mon dieu, pendant qu'il déboutonne " ma " chemise.
Veut-il vraiment...Oui, je pense.

" Il va falloir que je te calme par mes propres moyen, mais ça
s'avère plus dur que prévus. Si seulement tu me donnais un coup de
main. N'oublis pas ce que j'ai fait pour toi, cette lettre pourais
m'attirer de graves ennuis tu sais. "

Il m'embrasse, et continue de déboutonner la chemise, qui finit par laisser voir mon torse.
J'avoue, je ne l'ai jamais fait avec un garçon - enfin, la seule fois où je l'ai fais j'étais bourré et je me rappeller plus de rien, -, et je ne sais pas du tout comment cela se passe hormis qu'il...Enfin, que c'est anal, évidemment.
Je me mords la lèvre, hésite quelques instants et entour son cou de mes bras, je niche ma tête dans son cou et avec ce que j'appellerais le courage, dis :

- Ne...F-Fais juste un effort pour éviter que l'on m'entende...

Doucement je décolle ma tête, le regarde quelques secondes, et finit par l'embrasser.
S'il veut de l'aide, il va en avoir.

Voila qu'il vient de lui même se mettre contre moi. Je souris interieurement. Je ne pensais pas qu'il se laisserai faire si facilement, c'est mieu dans ce cas. C'est juste ce qu'il me fallait. Ma main vient se poser dans mon dos et le rapproche un peu plus pour amplifier notre baiser. Mais j'y met fin assez vite et murmure.

- J'aime que tu prenne des initiatives...

Je recupere à nouveau ses levres tout en me redressant, le gardant près de moi, contre moi. Une fois à la verticale, je dirige mon baiser suivant vers son torse. Passant la main maintenant son dos, sous la chemise pour pouvoir ainsi ressentir chaqu'un de ses frissons. Mes levres laissant peu à peu la place à ma langue.

Je commence d'ailleur à entendre ses premiers gémissements. Bien, je pense que ça lui suffit. Je me stoppe net. Il ne semble pas comprendre et me regarde avec incertitude.

- Tu n'es pas près pour ça. Et comme je te l'ai dit, je tien vraiment à ce que les bonnes choses durent.

Je me releve et remet les manches de mon yukata. Puis referme la porte-fenetre.

- Hm, tu veux passer la nuit ici ou tu prefere repartir maintenant ?

Aaaaaah ouais.
...

Oh mon dieu, j'ai failli faire la boulette de ma vie.
Failli coucher avec un mec que je connais pas, un Ouji qui plus est.
Je soupira et dis le plus tranquillement que je pouvais que je repars chez moi.
Je pris mes affaires posé dans un coin, enlève la chemise facilement et m'habille des mon short et de mon débardeur, tant pis pour l'odeur.
Je prends l'enveloppe, serre les dents et lui dis :

- Désolé pour l'incident, cela ne se reproduira plus.

O-On va juste dire que j'avais besoin de ce que l'on pouvait appeler le réconfort. C'est ça.
Et demain, j'oublierais tout, j'irais baiser à droite à gauche et ferais mon boulot de mafieux tranquillement.
Je le regarde et lui dit :

- Hum..? La sortie ?

Quel tempérament ! Je m'attendai pas à ce qu'il s'en remette si vite. C'est une bonne surprise. Mais, combien de temps il tiendra à éssayé de se persuader qu'il ne s'est rien passé ? Enfin, un rejet de la situation, c'est bien la réaction que j'attendais.

J'ouvre à nouveau la porte-fenetre.

- Tu peux sortir par ici.

Avant qu'il ne sorte je pose à nouveau une main sur le haut de sa tête.

- Merci de m'avoir autant distrait. Il me tarde de refaire affaire avec toi.

Le voila qui repart. Hm, ce petit, je ne m'étais pas trompé à son sujet. Il est vraiment très interessent. Mais, il est encore trop vert (tout comme ses cheveux...). Il ne mérite pas d'être cueillis si tôt.

- Aaah...

Tien, je commence à bailler ? Je n'étais pourtant pas si fatigué que ça...

Affaire avec moi.
Tu feras affaire avec mon cul ouais...
...Non, non, pour ce genre de situation, ça le fait pas.
Aaaah, Fran, ceci dit, tu as réussi.
Je regarde l'enveloppe qui contient les informations et souris.

Une fois rentré, ma mission accompli, mais un remarque sur mon odeur.
D'après l'un des membres, le Boss a été content de moi, youpi.
Mais s'il savait comment je l'ai obtenu...

[ Ellipse - 2 moi après ... ]

Depuis cette soirée, je n'ai eu aucune nouvelle de Belphegor, et j'avoue que je préfère cela.
Le Boss a été content de moi, pour avoir trouvé si vite les informations et de ce fait, m'autorise à faire des missions plus importantes, d'ailleurs, comme d'hab' je recueille des informations dans une boite appartenant à un Yakuza ennemi, je ne sais plus son nom, et je m'en fous.
Je suis dans une discothèque et d'après ce que j'essaie d'entendre, il y aurai des sortes de VIP, qui peuvent descendre et là, on dit qu'il y aurait du trafic d'humain, ou un truc du genre.
Je continue de gratter les infos mais j'ai envie de baisé.
Pas qu'elle soit pas jolie la fille qui me mate aussi, mais bon. Elle a l'air de vouloir croire au prince charmant autrefois crapaud, et moi, je suis uniquement le crapaud. Degoutant mais content, et fière.
Je commande un autre verre d'alcool au Barman qui s'empresse de me le préparer, la meuf à côté, qui me zieute, et moi légèrement.
Le Barman me servi le verre et je le pris direct, et le bu cul-sec.
Je m'ennuie, plus d'information pour aujourd'hui, je crois que j vais aller aux toilettes vomir et rentrer .
Je me leva du mieux que je pu et me fit un chemin parmi la foule, où sueur, corps dénudé et autre s'acharnait sur la piste de danse.
Une fois aux toilettes, je soupire, je n'ai jamais trop appréciait les endroits comme ça.
Juste traumatise d'une soirée d'un collège.
J'entrai et, youpi, personne dans les chiottes.
Je me dirige vers le miroir ainsi que les lavabos en attendant que je gerbe, mais cela ne vint pas.
Je me regardai dans le miroir.
Et le mot qui me vint fut, : Pathétique.

J'étais là, cheveux légèrement en bataille, des cernes sous les yeux dû à plusieurs nuits blanche - à cause du boulot - et je tremblais aussi.

- Misère, Fran...Regarde toi vieux, même pas capable de tenir debout...Murmurai-je.

Depuis quelques semaines déja, je suis forcé d'allé à droite à gauche pour ce satané sous-boss. A croire qu'il aime bien me faire marcher. Mais quelle enflure tout de même, il ne peut pas confier ce genre de missions au nouveaux venu ? Pourquoi moi...?

En plus je me retrouve toujours dans les endroits les plus bruyants. Tout comme ce soir, je me trouve dans une boite de nuit à la mode, tout ça pour m'assurer qu'une rencontre entre deux protagoniste exterieur à notre clan, a bien eu lieu. Tout ça pour ça, j'aurais mieu fait de rester dans ma chambre pour dormir.

Enfin, j'entre et je ressors aussitot. Me voila dans l'entre du demon. Une troupe de jeunes affolé et excité par le son se déhanchant en rythme sous les neons. Vraiment, pourquoi j'ai accepté de venir ici. Je prefere du coup foncer dans le tas et allé directement au but, c'est a dire le carré VIP. Mais je me retrouve confronté à un soucis, une brute épaise de 2m30 de haut et des bras aussi gros que mes cuisses. Je feinte en prétendant chercher les toilettes, il m'indique donc le chemin a suivre. Chemin que je suis bien évidemment...j'ai pas envis de paraitte suspect.

Une fois à l'interieur une drôle de surprise m'attend. Hé bien, ça fait lontemps qu'on ne s'est plus croisé. Enfin, je supose que ça devait arriver.

Je m'intalle au fond contre le mur a coté d'une tout petite fenetre et allume une cigarette. Bon, comment je vais m'y prendre moi...sans photo j'aurai pas de preuve pour prouvé au crétin que je suis bien venu ici...et que j'ai bien vu ce qu'il voulais que je voie !

J'ai vu passer quelqu'un via le miroir, mais j'y ai pas prêté attention.
Je lâche un " J'ai envie de baisé " aussi naturelle que je dirais bonjour, tout en soupirant.
Je me rince vite fait le visage et une odeur de cigarette vint à mes narines.
Je me tourne pour partir mais ayant bu trop d'alcool je manqua de trébucher et m'aplatit contre la porte des toilettes.
Mon visage tourné vers la gauche...

- Oh putain...Belphegor...

J'avais pas trop envie de le voir, surtout que je suis sur qu'il va encore se moquer de moi, pitoyable et jeune que je suis. Malheureusement, je crois que l'alcool décide autrement et je dis :

- Aloooors mon chou, tu cherches quelqu'un d'autre à baisé ? C'est vrai, Fran est si pathétique...

Je colle mon front à la porte des toilettes, et tandis qu'il allait répondre, un bruit de porte qui se claque se fait entendre et le coupe.
Je regarde qui arrive et hallucine.
Un mec de mon ancien collège...que j'avais baisé après une soirée affreusement bien arrosé.
J'aurais dû continuer mes études, et je me serai pas mis dans une merde pareille.

Qu'est-ce qu'il lui arrive à celui la. Hm, il est bouré ? Mais qui lui a donné de l'alcool ? Il a pas l'age pour ça...Enfin bon, même si j'ai pitié de le voir dans cet état, je le laisse divagué et meme se prendre la porte en pleine figure. Ca doit pas faire du bien.

Puis finalement quelqu'un d'autre ce décide à entrer. Pas moyen d'être tranquil, même aux chiottes. J'écrasse ma cigarette à peine entamé sur le sol carlé et passe la porte, j'avance dans la foule jusqu'à la porte de sortie. Une fois à l'exterieur je prend une grande bouffé d'air.

Bon voyons voir, comment je vais prendre cette photo...Et, peut-etre que si je passe par derriere. Je fait donc cela mais la seule fenetre à la qu'elle j'ai à faire c'est celle des chiottes.

Je m'installe donc sur un carton pour regarder le spéctacle. Je devrait peut-etre prendre ça en photo ? Un Sakura completement pété...ça suffira peut-etre au sous-boss à etre content ?

Mais, ce serait méchant de faire ça.

Ah, je reste collé à mon ami la porte, Bel' est parti..Ah, dommage, je le pensé pas vraiment.
Une envie de vomie me prend et je part dans les chiottes, malheureusement, mon acolyte semble être compatissant et me fait une tape dans le dos et m'aide à me relever sans que je lui demande de l'aide.
Et voilà, je l'entends gueulé :

- FRAN ! C'EST TOI ?!
- Nan, c'est ton cul, bouffon, murmurais-je, me sentant pas très bien.

Il a grandi, c'est fou.
Il me bloque contre la porte et commence à mettre sa main dans mon pantalon.
Je fis un petit " Aaah " lorsque ses doigts touchèrent le tissu qui cachait mon anatomie mais lorsqu'il me murmure " Je t'ai toujours aimé, Fran-senpai, combien de fois j'ai voulu te prendre, et ce jour arrive enfin... "

Je ferme les yeux, l'alcool ne m'aidant pas à réfléchir et lorsqu'il me retourne et que j'entends un bruit de braguette ma main fouille dans mon pantalon et je sors un revoler, cadeau du boss.

Yure, - ou Yura ou Reyu, je sais pu son prénom - hoqueta et recula.
Ma voix se fait plus grave.

- Certe, je t'ai baisé et j'ai dit que je t'aimais mais c'était pour te baisé et tes couinements sur l'amour me dégoûte, la prochaine fois...

Mon revolver pointe son entrejambe.
Je regarde vers la fenêtre, et regard Bel' comme pour lui dire " Ca t'as plût ? "
Et silencieux, je range l'arme dans mon pantalon - dans mon caleçon, c'est quelque peu utile et sort des toilettes.

Je soupire et ma tête me fait mal. Soudain, je tombe nez à nez avec un Ouji.
Quand je dis que j'ai d'la chance, les Ouji ils se reproduisent à la vitesse de la lumière ou quoi ? J'en croise au moins un par jour.
Il me sourit et lorsque je vis sa main se déplacé lentement vers sa poche de pantalon arrière je panique.
Je sors en trombe et marche rapidement vers une petite ruelle sombre. Je sors mon précieux silencieux ou cas où je me ferai repéré.

Et je ne sais pas pourquoi, je commence à me recroquevillé, les larmes aux yeux.
Je ne savais ce qu'il me passait, mais...Je...Je pensais à Belphegor, maintenant que je l'avais vu je...Mon cœur avait...
Je me traita intérieurement d'imbécile.

Et bien, il n'en manque pas une le jeune. Mais, en y repenssant, je suis presque sûr qu'il avait étoné de mes avances. Alors pourquoi il entretiendrai ce genre de relation ? ça n'a pas de sens. Enfin, j'imagine que l'alcool l'aide beaucoup. C'est assez amusant a vrai dire !

Quelques minutes passe et finalement il ressort des toilettes. Je n'ai pas pu prendre de photo...Je pense que je vais rentrer bredouille. C'est mauvais pour moi, mais je n'ai pas d'autre choix.

Je me releve et fait quelques pas quand j'apperçois une silhouette familiere. Il prend l'air ? Plié de cette façon ? J'avance encore un peu et finalement perçois quelques sanglots. Hm, où est le grand dur d'il y a deux minutes ? Bizarre...mais je n'ai pas tellement envie de m'attarder la dessus.

Je m'arrete une seconde pas très loin. Puis finis par venir m'assoire près de lui.

- Un moment de faiblesse, monsieur le gros dur ?

" Un moment de faiblesse, monsieur le gros dur ? "

Je me pétrifia. Et repris mes sanglots de plus belle.
Je n'allais pas lui dire que la cause de mon mal être étais lui ?
Je trouva une excuse quelque peu convaincante, du moins, j'espère.

- Je...Je supporte mal l'aclool...L'alooc...L'alocle...Ah...Si tu es venu, je renifla ( pas très super mais bon ), si t'es venu te foutre de ma gueule, la sortie c'est par là, dis-je en pointant du doigt la seule issue de " fuite ".

Je ne sais pas, je ...ce sentiment, je ne le connais pas, mon cœur qui tambourine dans ma poitrine, mes joues qui s'enflamment, vouloir le toucher...
Je posa mon flingue à terre et dis :

- Tu devrais faire ce que tu avais à faire, chercher des gens à baisé ou alors faire ton boulot de je ne sais quoi, je ne vois pas pourquoi tu devrais rester là, avec moi, un Sakura avant tout.

Mais cependant, je voulais qu'il reste, qu'il m'enlace comme il le ferait peut-être si j'étais une fille et...Je..Je dis des trucs répugnants...Non, non, jamais je ne tomberai amoureux, surtout pas de...
Je baisse mon bras pour pouvoir le regarder.
Il est si beau...Je...Je demanderais conseils, je ne peux pas être...
Non, puis même...

Après quelques secondes je le remercie.

- Au faite, merci pour l'enveloppe, ça m'a " sauvé " la vie...

Il semble de mauvaise poil aujourd'hui. De toute façon je ne tenais pas à méterniser ici. Il me remercie tout de même pour l'enveloppe de la derniere fois. C'est déja ça...Je soupire puis appuie ma tête contre le mur. Je n'ai vraiment pas envie de rentrer, surtout si c'est pour suporter des sermonts...

- Je ne l'ai pas fait dans ce but là. Mais tant mieu si ça a pu t'aider.

J'éttire mes bras devant moi avant de prendre impulssion pour me mettre debout. Engouffrant mes mains dans mes poches je dis.

- Mais, tu as raison, je vais plutôt retouner à mes affaires. D'ailleur tu as l'air toi même très occupé, d'après ce que j'ai pu en voir.

Je souris avant de repartir vers l'entrée de la boite. Puis finalement, tant pis pour la photo. J'ai pas envie de poirauté ici toute la nuit. Je prefere de loin retourner me coucher. Je rebrousse chemin mais un truc me rentre dedans. Où est-ce qu'il va comme ça, il peut pas faire attention. J'allais dire un truc méchant mais en voyant ses petits yeux vert plein de larme (non, je n'exagere pas du tout !) je n'ai simplement pas pu.

J'attrape son poigné et l'embarque avec moi un peu plus loin. Dans le parc. Le parc plein de gosse mais assez vide, effectivement la nuit n'attire pas foule ici. Je le relache mais continu d'avancer.

Je ne peux pas.
Je ne peux pas le voir et le laisser aux autres.
Après avoir foncé dedans, les larmes aux yeux - tant pis pour ce que les autres appelles " fierté " il pris mon pogné et m'emmena je ne sais où.
Lorsqu'il me lâcha la main, je ne savais pas trop où c'était, les larmes m'empêcher de voir, et l'obscurité de m'aider pas.

- C'est...

Non, je pense pas.
Soudain, après avoir essayer de savoir si c'étais " CE " parc, je me suis pris un truc dans les genoux - douleur hoooorrible - , et m'attendant à tombé par terre je ne m'attendais pas à me prend une truc froid et dur dans la tronche.
Je m'étais pris un banc, et ceux de métal.

- Aie...Saleté de..

J'avoue que sur le coup, le métal dans mon genoux et ensuite en pleine face.
Je crois que j'ai pas trop de chance en ce qui concerne ce qui est dehors.
Je tourna ma tête mais le noir m'empêcher de voir.
Aurais-je perdu...

- B..Bel' ? Couinais-je, d'une petite voix, d'où que t'eesss ?

Aucune réponse, et je murmurais pour moi : " Fran, t'es pas une gonzesse en détresse, alors bouge ton cul et cherche "