[Fini] One Night for One Love

Pourquoi est-ce que je l'ai amené ici, enfait pourquoi je l'ai enmené ? Franchement, à quoi je pensais ? Je fais vraiment n'importe quoi défois, au lieu de rentré tranquillement au bercaille...enfin, peut-être que j'ai pas envie de rentré. Nan j'en ai pas envie ! Mais j'y serais bien contraint à un moment...Enfin bref...Ah, bah il est où ?

Il me suivait pas ya deux secondes ? Je revient un peu sur mes pas et le voie parterre faire je sais pas quoi. Je m'accroupis.

- Qu'est-ce qu'il t'arrive ?

Il se plaint de son genoux. Il s'est fait mal ? C'est pas ça qui va arranger ses larmes. Je ricanne de sa bétise mais il me reprend assez vite. J'ébouriffe ses cheveux et me releve puis m'assoie sur le banc qui lui cause tant de tracas.

- Alors, pourquoi tu pleurs comme ça ? Ton poisson rouge est mort ?

Je passe mes mains derriere ma nuque et m'instale plus confortablement.

- J'aime pas les gosses, surtout ceux qui chiale pour un oui pour un nan. Ils m'éxhasperent.

- J'aime pas les gosses, surtout ceux qui chiale pour un oui pour un nan. Ils m'éxhasperent.

Je me mords la lèvre.
Je me lève tant bien que mal et m'assois à côté de lui.

- Je...Je serais majeur la semaine prochaine ...alors je ne me prends... pas pour un gosse.

Je remets en place mes cheveux, que Bel' a ébouriffée il y a de cela quelques secondes.

" Alors, pourquoi tu pleurs comme ça ? "

Je vais pas lui dire que...peut-être...

- Je...J'ai rencontré une fille, il y a presque un mois. On ne s'est pas vraiment vu beaucoup de fois, et on connais rien de nous...Mais...

Je m'arrêta, et si...Non, il ne se reconnaitra pas, surtout si je dis fille.
Je repris.

- Mais...Je sais pas, j'aime savoir qu'elle n'est pas loin, je..veux la toucher...Peut-être que je suis...ce que l'on appellerai...enfin... " Amoureux ? "...Pour ma part, je pense pas. Mais quand elle est là, je me sens chaud, j'ai chaud, je rougis...

Je regarde mes pieds, je dois sûrement rougir. Puis je secoue la tête.

- C'est ...insupportable...Surtout que...Elle ne m'aime pas, je suppose, et jamais elle ne m'aimera...

Ah, je divague, comme si ça l'intéressé.

Quelle histoire, c'est pour ça qu'il est triste ? C'est bien un gosse après tout...Enfin, je ne peux pas me plaindre, je supose que j'étais comme lui plus jeune. Hmm, je parle comme si j'étais un vieu crouton. Fatigué de tenir mes bras dans cette position je les rebaisse.

- Idiot. Tu es un idiot.

Je le regarde furtivement puis dévis mon regarde vers le fond du parc.

- Pourquoi tu ne lui dit pas simplement ?

Bien sûr il risque de se faire jeter. Mais, c'est lui pas moi alors voila.

- A vrai dire, je ne suis encore jamais tombé amoureux. Mes conseils ne te sont donc d'aucune utilité.

Je baisse la tête et soupire. Je suis vraiment fatigué de cette journée, pitié quelle se finisse enfin ! Je veux pas dire que j'apprécie pas ce moment mais j'ai vraiment envis de pioncer.

- Je suis jaloux, tu prefere quelqu'un d'autre à moi ? Quelqu'un que tu connais depuis moin lontemps en plus. Tu t'attache vraiment a n'importe qui...

Je me lève et m'exclame :

- CE N'EST PAS SI FACILE ! ELLE A TOUT CHAMBOULER DANS MA VIE ! S...Si...

Je sens les larmes me montaient aux yeux.
S'il savait, s'il savait...
D'un geste du bras j'essuie mes larmes.
Je ne sais pourquoi mais sa dernière phrase m'a quelque peu énervé.
Sûrement, qu'au fond de moi j'aimerais qu'il se reconnaisse, et même s'il m'aime pas...
Les larmes coulent de plus belle, et j'entends mon téléphone sonné.

Je décroche, c'est un membre de ma famille. Enfin, du clan, je n'ai pas de réelle famille ou je ne sais quoi.
Au bout du téléphone il me demande si j'ai réussis à avoir des informations, je lui dis que non et bien qu'il est remarqué que je pleurais, il me demande rien et me demande si je suis seul, j'hésite, regarde Bel' furtivement et finit par dire " en quelque sorte ".
Il semble en avoir pour longtemps, le genre de conversation qui dit ce que je dois faire.
Je me rassois et tente de garder mon calme.
Il arrive au mauvais moments le crouton, et j'ai envie qu'une chose : Qui me laisse tranquille.
Cependant, je ne peux que dire " oui " à ses dires.
Je me tourne de dos de Bel'.
Il va sûrement partir, et me laisser seul.

Didonc, il y tien à sa gonsesse. C'est mauvais. Même si je connu à travailler, j'ai besoin d'une motivation. C'est ennuyeux sinon. Il vaut mieu que je fasse quelque chose pour arranger ça. Je veux qu'il continu à m'amuser.

J'entends une sonnerie, son téléphone ? Peut importe. J'attends une minute, mais la discution semble s'allongé...encore et encore. Je me leve attrape doucement le telephone avat de l'étteindre mais avant qu'il retorque quoi que ce soit j'arrive à m'emparer de ses levres avant de relever sa frange.

- Alors comme ça une vilaine fille te cause du soucis ?

Je lui rend son téléphone.

- Il faut vite que je te la fasse oublier car l'alcool ne te va pas du tout...

Je relache ses cheveux et me redresse.

Q..Q..Qu...

Je dois rougir, c'est obliger.

- Qu'est-ce que tu...M..Me faire oublier ?

J'aime et je déteste ces moments.
Je pourrais faire n'importe quoi, dans ce genre de moment. Mais...

- Tu...Tu ne feras qu'empirer la chose...

Je ne le comprends pas, je veux pouvoir savoir ce qu'il peut faire, savoir, pense...Et pourtant...J'oublie tout, et je me colle à lui, tête contre son torse, les yeux qui me pique à force de pleurer, je suis pathétique, si pitoyable.

Il est vraiment difficile à cerner parfois. Je ne sais pas vraiment si il est malheureux ou bien si c'est un caprice. Une chose est sure, c'est qu'il ne sait absolument pas mentir correctement. Je passe mes bras dans son dos comme quand on console un gamin.

- Si tu ne veux pas que je m'en mele alors d'accord. Je ne ferai rien. Mais dis moi clairement que je dois abandonner dans ce cas.

Pourquoi est-ce que j'insiste autant pour pouvoir l'avoir avec moi ? La plupart du temps, rester seul me suffit amplement. Mais a chaque fois qu'on se rencontre, au fond de mi je n'ai pas envie de le laisser repartir.

- Je n'ai pas envie de te voir pleurer. Alors si je suis un probleme pour toi, dit moi juste de te laisser tranquil.

Tout ça, ça ressemble vraiment à une déclaration. D'ailleur ça me ressemble pas de dire des truc pareil. Généralement, c'est moi qui fait chialer les gens, et ça me rend partiellement heureux.

Aller Fran ! Vas-y ! Balance le !

- ...Je....voulais te dire que...

Là !

- Euh...Je t...Te voulais demander pourquoi tu fais ça pour moi ?! M'exclamais-je, me reculant brusquement de lui.

Non...Je...Je suis si têtu, je n'avais qu'a lui dire, me faire rejeter et partir chez moi, simplement.
J'essaie d'arranger la chose, en bafouillant.

- E-Enfin...Je..On-on se connait pratiquement pas, puis c-c-c'est pas comme c-ci...J-je veux...dire que...Et puis même, déclarais-je à moi-même, plus confiant; avouons qu'on s'aime bien, copain copain, c'est pas si on pouvait être ami ou je ne sais quoi.

Je soupire, nan, je ne veux pas que tu partes car je crois que je t'aime, oui, je veux que tu partes si tu m'aimes pas.

- Tu ferais quoi, toi, à ma place ?

Pourquoi je fais ça ? C'est aussi la question que je me pose. Mais je trouve ça amusant. Ma vie est vraiment monotone, alors quand j'ai la chance de tomber sur quelqu'un comme lui...Je ne tien pas a le laisser passer sans rien faire.

J'ai vraiment l'impression de m'etre déclaré, pourquoi il réagi comme ça ?! C'est vraiment perturbant, j'ai rien dit qui pourait le mettre dans cette état...alors.

- A ta place...? Hm...

Je fais mine de réfléchir.

- A ta place j'arreterai de me plaindre. Je ferais en sorte d'avoir ce que je veux. Oui, c'est ce que je ferais.

Je soupire.

- Mais, on ne peut pas allé contre nature. Tu as ta propre façon de voir les choses, et tu es le seul a savoir ce que tu dois faire.

Je retourne m'assoir sur le banc, fatigué d'être debout. J'ai vraiment envie de dormir maintenant.

Je resta planté là.
C'est vrai.
Bon, réfléchissons.
C'est vrai que c'est à la limite le parfait inconnu, mais..Le coup de foudre, ça existe, non ?
Certes, j'ai des bouffées de chaleur, je me sens faible face à lui..
Je me rassois à côté de lui, plus calme, et confiant, peut-être.

- Je...J'aime pas une fille. J'aime pas les filles tout court, enfaite.

Petit blanc, où je le regarde.

- Mais...Je n'aime pas les garçons non plus...

Aller...Encore un peu.

- Enfaite...Il est possible...Enfin...Peut-être que...Je t'aime...

Je crois que j'ai jamais eu aussi chaud de toute ma vie.

- M'enfin, je crois ! Je peux très bien me tromper ! C'peut-être ce qu'on appellerait le coup de foudre ou un aut' truc débile du genre, je sais pas, je sais pas...

Ah, je savais pas que c'était de ça qu'il s'agissait. J'avais raison de penser qu'il s'attachait a n'importe qui. C'est lui qui dit qu'on se connait à peine, finalement il avoue maimer puis il n'en n'ai plus certain. Je ne sait pas vraiment ce qu'il veut...

- Tu es compliqué.

Je me gratte la tête puis lui jete un regard. Il n'a pas l'air de savoir ce qu'il veut d'ailleur. Il vaut mieu que je me mette à l'écart un moment. Si il est aussi perturbé, je veux pas que ce soit de ma faute.

- Peut-être que tu fais une erreure en effet. Tu devrais prendre le temps d'y réfléchir. Pour ma part...

C'est vrai ça, qu'est-ce que je pense de lui ? Il est interessent mais, je ne me fit jamais a mes sentiments.

- Je pense que j'aimerai mieu te connaitre.

Cependant, c'est assez spéciale comme relation non ? Les Sakura et les Ouji ne sont pas sencé s'entendre comme ça. Si jamais on nous prend tout les deux en flag'...Bien que je n'aime pas les Ouji, je n'ai nul part où allé. Je suis né là-bas. Et qui sait ce qui m'arriverai si jamais il savait que je les ai trahis, et pas qu'une fois...

Il veut mieux me connaitre ?
Mais...Ce serait égoïste...Je pense.

- Je..Je suis désolé de créer des problèmes.

Mon portable - que j'avais remis dans ma poche arrière de pantalon - vibra.
Bande de...

- Je..Je crois que je vais rentré dans ma demeure...Y a un nouveau boss alors, pour son arrivé faudrait pas que j'sois crevé...

Je rigola, bien que c'était plus par stresse qu'autre chose.

Mon portable re-vibra.

- Je suis encore désolé, Belphegor.

Il faisait noir, alors je pris mon portable histoire de me faire un peu de lumière, et après lui avoir jeterun énième regard, je me mis à marché dans la direction de " chez moi ".

J'étais effrayé, mais aussi heureux. Mais je devais avoir eu l'air affreusement débile...Ce qui est fait, est fait !

Il s'en va ? Bien, je devrais peut-être faire de même...Mais l'envie me manque. Je fini tout de même par me lever avec un peu de mal. J'attrape l'appareil dans ma poche, je n'ai pris aucune photo. Peut-être que si je leur dit que je sais qu'ils y étaient, ça suffira. Enfin, j'y croi pas trop...mais on peut toujours esperer.

Je repers vers le domaine en trainant le plus possible. Une fois arrivé je me fais sermoner à cause du retard. Je donne l'appareil a mon superieur en lui expliquant que je n'ai pu prendre aucun cliché. Finalement, ça se passe mieu que prévus, j'ai juste le droit a un soupire et un "tu fera mieu la prochaine fois". C'est rare, il doit être de bonne humeur.

Après ça il me donne une fiche avec quelque chose de grifoné. Aparemment une adresse. Hein ? Je dois éléminer quelqu'un ? C'est la premiere fois qu'on me demande un truc pareil...Je repars dans ma chambre. Il faut que je decompresse un peu. Pourquoi ils ne demande pas ça a quelqu'un d'autre? Je ne vais quand même pas me salir les mains pour leur faire plaisir. En plus de ça...c'est pour demain soir. Impossible, je ne peux pas faire ça.

[ Ellipse ~ Le lendemain ]

Je me suis réveillé avec un mal de crâne horrible, mais supportable.
L'un de mes collègues ( celui qui avait téléphoné ) m'a crié dessus, avec le mal de crâne, je n'ai pas supporté et j'ai pris une pause ( il fallait faire les préparatifs pour la soirée ).
Et j'ai pu voir le nouveau boss, j'ai halluciné.
Un tiot de quoi...17/18 ans ?
Bien qu'il avait de magnifique yeux verts, je n'ai pas aimé la façon dont il m'a regardé.
Le genre de regard de " tu fais une gourde, et t'es mort "...Il doit savoir quelque chose de moi que personne d'autre ici ne sais...
Pourtant, c'est connu ici. " Tu es moi, je suis toi ". Pas de secret entre les Sakura en gros.
Ou alors...Non. Impossible.
Lorsque je préparé le salon, j'ai gratté l'infos.
Il aurait assassiné plusieurs personnes il y a quelques semaines et l'ancien Boss l'a vu à l'œuvre et lui a tendu la main.
Au début, il aurait rien compris mais il a dit oui.

Alors...

Je l'aime pas.
Mais tout les autres le kiff déjà. Je pari que c'est un enfant gâté.
Et c'est de cela que parlait les Sakura, toute la journée spécial préparatif.
Moi je ne l'aime pas, alors j'irais pas à la fête, si je présume un truc du genre " je crois que j'ai trouvé une infos qui pourrait [blablabla] " ca marchera ?
Voilà comment me démotivé.

Il est 20h16, j'ai décidé de prend une douche en dernier.
Mais lorsque j'entre dans les douches - c'est à plusieurs, comme pour les douches d'école - il est là.
Je passe comme s'il n'existe pas mais ça ne lui convient pas.

- Bonjour c'est pour les clébards peut-être ? Me dit-il, furieusement.

J'allais répondre que oui, mais lorsque je me retourna...Son regard. Je ne sais pas trop, un regard des plus sadiques.

- Avant que je devienne le Boss des Sakura, je tenais à préciser que ne serait-ce qu'un faux pas...

Je le regarda, étonné.

- Si, avec le blond...Je vous avez vu, devant l'hôtel ou je ne sais quoi, que vous vous disputez ou que vous flirter, encore un faux pas...Étant lycéen " à l'époque " je m'en foutais mais maintenant qu'on m'a appris les lois de la mafia.. J'hésiterais pas.

Et il partit. Et j'étais dégouté, enfin, encore plus.
Je décidé de faire comme si je n'avais rien entendu et pris ma douche.

[ ~ 21H30 ~ ]

Après avoir bu deux verres d'alcool, j'ai présumé être trop bourré et je suis parti.
Enfin, je suis parti mais sur le toit.
J'apercevais la lumière du salon, avec les ombres.
Le désormais nouveau Boss avait ordonné des musiques hip-hop techno, et j'étais assez choqué de voir les vieux de 30 ans danser comme je ne sais quoi.
Je me coucha, et regarda les étoiles, je ne pouvais pas dormir avec tout ce boucan...
Je soupira.

J'ai éssayé toute la journée de refiler mon job du soir à quelqu'un d'autre. Mais personne n'a voulu. Je n'ai pas du utilisé les bons arguments, j'aurais du dire que c'était une mission que le boss lui-même ma confié. Quoi qu'il en soit je ne tien vraiment pas à faire ça, c'est pourquoi...

C'est pourquoi le moment venu je me rendis sur les lieux. Mais pourquoi je suis venu ?! Arf, tant pis. Peut-être que je devrait déja savoir qui je dois abattre avant de faire quoi que ce soit. Je fais le tour et trouve une fenetre entre ouverte. Une fois à l'interieur je me précipite sur le premier tiroire histoire de savoir chez qui je suis tombé.

Mais ce dernier me surprend et par reflex je sortis mon revolver et lacha un coup. Zut...Merde...j'ai vraiment tiré sur ce type. Je m'approche pour vérifié si il est bien mort. Puis je file aussi vite que je suis venu. Bon voyons le bon côté des choses...j'ai fini ma mission. Mais j'ai tué quelqu'un. Hm.

Je rentre en silence. J'arrive pas vraiment à réaliser ce que j'ai fait. Et j'ai pas envie d'en parler. Il faut que j'oublis cette image ! Mais, si ça commence comme ça...bientot il vont me demander de tué...2,3,4 personnes...et plus encore. Pourquoi est-ce que je suis né dans un endroit pareil !

Le lendemain j'apprend enfin l'identité de celui que j'ai abattu. Aparemment il s'agirait d'un Sakura. Mais je n'ai pas tout compris...

Je ne sais comment, je m'étais endormi.
A mon réveil, j'étais encore dehors, sur le toit et j'avais froid.
Lorsque je suis rentré, ils étaient pratiquement tous étalés comme des...des chiens avec ce qui semblait être une gueule de bois.
Seul le bras-droit ( de l'ancien et du nouveau ) Boss étais debout, un air grave, au téléphone.
Lorsqu'il me vit entrer il me murmura de m'occuper de " ces singes ".
Et donc tout le matin je m'occupa de ces fameux singes.

Vers midi, les seuls sobres étaient : 6 membres, le bras-droit et le Boss.
On avait eu une réunion et on appris tous qu'un membre avait été tué. Je crois que c'était Jack, un anglais. Il avait été victime d'un trafic de corps mais l'ancien Boss l'avait acheté car il avait eu un casier " intéressant ". ( Trafic de drogue, et de prostitué aussi ).
Mais moi, là, je m'embêtai, pour être honnête, la mafia c'est une famille, mais on est pas copain-copain avec tout le monde. Moi je suis à l'écart des autres, sauf de Kyou-Senpai. Celui qui été mon tuteur lorsqu'à mes 14 ans j'entrai dans la famille.

- La seule famille souhaitant rivalisé avec nous est la famille Ouji, déclara le bras-droit.

Mon visage se leva, j'étais plus intéressé, maintenant.
Le Boss avait souris et avait dit, calmement :

- Dans ce cas...Si l'ancien ne l'a pas fait, JE le ferais.

Des regards perplexes entre les membres, dont moi.

- Pourquoi ne pas proposé ) GoroPoro une somme d'argent énorme suivit de notre protection s'il vient nous aider pour éliminé cette saleté de famille ?

Alors il étais vraiment un enfant gâté.
Il se leva et dit :

- Bien, je vais dans ce cas déclarer ma frustration au clan ennemi..., petit silence, si quelqu'un a une réclamation.

Il m'avait regardé. Et je compris qu'il parlait uniquement pour moi.
Je ne l'aime vraiment pas...Je m'en doutais qu'avec lui...
Il faudrait que je prévienne Bel', rien que pour lui dire qu'il est possible qu'avec le nouveau Boss...

Il aller passer la porte mais il se retourna et me parla :

- Au faite, Fran, c'est ca ?, il parait que tu es bon en espionnage...

Mon signe de tête le fit sourire.

- Bien, alors, tu sais ce qu'il faut faire.

Je me leva, m'inclina comme le reste des membres et il parti, et moi aussi.

[ Après Midi ~ ]

J'étais fatigué, j'avais passé la journée dehors.
J'avais pris en chasse la femme de GoroPoro; elle étais aller au macDo avec sa fille.
J'ai dû ressembler à un pédophile lorsque j'ai joué avec sa petite fille.
J'ai dis à la gamine de surveiller ses parents et si elle le faisait bien, je l'épouserais plus tard.
Trop mignonne. Mais mon cœur est " close ". Pris ou pas, qu'importe.
Il n'étais que 16H alors j'avais décidé de me balader.
J'avais vu une boutique, et bien que je savais que le directeur avait fait affaire avec les Ouji - et donc que le Boss voulait pas que [ blablabla ]... - j'avais regardé à travers la vitrine.
Demain, j'aurais 20 ans.
Demain, je serais majeure.
Demain, 6 ans que je suis devenu un Sakura.
En parlant de Sakura, la mort de Jack me laisser perplexe. Il étais plutôt silencieux et jamais un clan ennemi l'avait soupçonné ou autre.

" Bonnet FROGGY - 7000 Yen ( environ 60€ ) "
J'aime le bonnet, mais j'ai pas d'argent de poche, je reviendrai demain.

Je pris une sucette et la mis à ma bouche dès le papier enlever. Lait ~Fraise ♥
Je marcha et plus loin, vis Belphegor sortir d'un bâtiment, j'allais me dépêcher pour lui parler mais lorsque je vis deux grands mecs derrière, je rebroussa chemin, " la queue entre les pattes " et la tête baissé.

Encore une journée de merde. J'ai du allé remplir quelque papier à la place de mon superieur. Il n'a vraiment rien d'autre a faire que de m'envoyer faire ça a sa place. Bon c'est vrai qu'il est plus tout jeune mais tout de même !

Une fois ma tache accomplis je sors accompagné de deux idiots. Je sais même pas pourquoi ils sont venu, ils n'ont servis à rien ! Par précaution...tu parle. Si ça c'était mal passé ils m'auraient utilisé comme bouclié. Enfin bon, fini c'est fini. En sortant j'apperçois Fran de dos. J'hésite à allé le voir mais finalement me rend compte que je ne suis pas seul.

Je leur dit de partir devant, j'ai des revue a acheter. Ils souhaitent venir mais j'insiste. Vraiment on dirait des chien, toujours a te collé au train. Ils partent enfin. Je ratrape le fuyar par l'épaule.

- C'est ta façon de me dire bonjour ? Plutot froid.

Il à l'air completement abattu. Je l'embarque dans un café pour prendre un verre. Je veille bien a ce qu'il n'y est pas trop de monde. On s'assoie à une table vers le fond. Une serveuse vient nous demander ce que l'on désire prendre. Je demande un simple verre d'eau une fois qu'il a commandé et que la serveuse s'en va je me décide à l'ouvrir.

- Alors, pourquoi tu fais cette tête, on dirait que tu sors du cimetiere. Il s'est passé quelque chose ?

Je commanda un fanta - avec une paille, bien que la serveuse m'a regarder bizarrement. Qu'on me traite de gamin, j'en " profite " de main, je serais majeur !

Lorsque Bel' me demande ce qu'il va pas, j'hésite un peu, et finis par dire.

- Jack, un membre de la famille, a été assassiné hier. Et c'est moi qui dois enquêté, à cause du nouveau Boss..Je l'aime pas, celui là...

Soudain, je me rappela.

- En parlant de lui ! Il...Il a pour intention de déclaré la " guerre " au clan Ouji. Et de mon avis du peu de fois où je lui ai parlé, il pourrait faire tout pour TOUT éradiquer, et donc..Enfin...

La serveuse nous donna nos boissons, je m'empressai de boire mon Fanta, pour continuer :

- Alors j'étais...Inquiet, en quelque sorte.

Puis, je bu le reste de mon Fanta et redis, grommelant.

- Je l'aime vraiment pas, le nouveau Boss...

Hier, tien, ce ne serait pas, celui que j'ai tué par hasard ? Alors comme ça il y a eu un changement de boss chez les Sakura ? Je n'étais pas au courant. Il s'inquiétait pour moi ? Quelque part ça me rend heureux.

- C'est moi. Enfin, j'ai assaciné votre ami. Je ne voulais pas vraiment, pour tout dire je ne savais même pas qui c'était.

Je prend une gorgée. Si ce nouveau boss veut se frotter aux Ouji, je ne tien pas à être là le moment venu.

- Je pense qu'il est tant que je rompe avec les Ouji.

Au début je faisait tout ça pour que ma mere soit fiere de moi. Maintenant qu'elle n'est plus là...

- C'est allé trop loin. Et, je prefere m'écarter.

Je ne sais pas comment ils vont réagir, je ferait mieu de ne rien dire. De fuir loin ! Car ils enveront surement quelqu'un pour m'éliminer.

Alors c'est lui qui a bu-...tué Jack...
Mais, par rompre avec les Ouji...

Je le regarde, perplexe.

Il risque de se mettre plusieurs personnes à dos : Les Ouji, les personnes qui se sont fait et qui en veulent aux Ouji.

Mais j'avoue que...S'il part...J'aimerais lui dire que c'est faux, mais je suis de nature franc.

- Et...Il sais que...

J'hésite à dire...Mais, si ça lui permet d'être en sécurité.
Je prends une nouvelle sucette, cette fois-ci , celle en cœur ( en cœur, nan mais, vraiment ) , au gout de cerise.

- Enfin, il dis que quand il n'étais encore que lycéen il...nous avait vu discuté, le jour où je devais surveiller GoroPoro...

Je regarde dehors. Les couples, les enfants, les vieux et les pigeons...La mafia est une chose dangereuse, une fois qu'on y entre, on en sort difficilement ou...mort.
Je jeta un coup d'œil à Bel', pose mes mains sur la table et y pose ma tête.

- Si...Si tu veux de l'aide...Je peux t'aider !

Son boss nous a vu ? C'est mauvais pour lui...Il dit qu'il peut m'aider. Comment veut-il me venir en aide. Ca ne ferait qu'empirer les choses. Si déja son boss se méfie de lui. Je ne veut pas l'impliquer la dedans.

- Nan, il vaut mieu que tu ne fasse rien de suspect.

Je fini mon verre d'eau et sort mon argent. La serveuse vient prendre mes pieces. Je ne sais pas vraiment comment je vais m'y prendre mais, je pense que je ne vais pas m'attarder. Peut-etre que je devrait changer de région...mais il faut que je fasse tout ça discretement.

- J'espere que n'ira pas dévoiler mes projets...

Je me leve et fait quelque pas vers la sortie. Je m'arrete pour l'attendre.

Je le rattrape assez vite.

- Mais ! Je veux...vraiment t'aider ! Enfin, j'ai pas envie que...

Je m'arrêta et réfléchis quelque temps.

- Toute façon, si on apprends que tu t'es enfuis, le Boss va sûrement se douter que je t'ai dis quelque chose et je serais lié, un jour ou l'autre !

Peut-être qui si, le jour où je me suis pris dans ses pieds, je n'aurais pas attendu d'excuse on en serait pas là ? Non, sûrement.

- Quelle merde...Murmurais-je, passant la porte du café.

Il n'a pas tord. Mais il y a moin de chance que ça arrive. Il veut foncer tête baissé, c'est bien un gosse. Je n'aime pas l'idée qu'il soit mélé a tout ça. Je préférais qu'il soit tranquil. J'ouvre la porte et nous sortons.

- Ne t'en fait pas, je me débrouillerais.

On fait quelques pas en longeant la route. Je ne sait pas si c'est une bonne idée, mais ce que je sait c'est que je ne peux pas resté ici plus de temps. Qui sait qu'elle sera ma prochaine tache. Je ne veux pas prendre de risque.

- Toi il faut que tu rentre maintenant.

Il insiste a nouveau pour m'aidé. Je pose une main sur sa tête.

- J'ai vraiment aimé passer du temps avec toi Fran. Mais je ne veux pas de cette vie la. J'aurai aimé te connaitre dans d'autre circontence...mais ainsi c'est trop dangereux. Pour toi comme pour moi.

- Si c'est trop dangereux pour nous deux...Je...

Bon, je vais dire THE truc guimauve, mais je m'en fous.

- Dans ce cas je viendrais avec toi !

Je fronce les sourcils, déterminé.Je veux vraiment l'aider, quitte à couler avec.
Je...Je l'aime. C'est ça. L'amour ne donne pas d'ailes, mais de la détermination et du bonheurs, et tout ces trucs que j'aime pas mais qu'avec lui, c'est diffèrent.

- Tu pourrais essayer de comprendre...Je ferais tout ce que tu me dis, de fermer la bouche à m'arracher les cheveux !

Il veut me suivre ? Mais il est completement cinglé ce gosse. Si jamais ils nous attrape. On perdra tout les deux. Même si je suis bien en sa compagnie, l'embarquer la dedans...si jamais ça se passe mal jamais je ne me le pardonnerai. Cependant il n'a pas l'air de vouloir abandonner cette idée. Je n'ai pas envie qu'il me suive en cachette. Je soupire assez fort.

- Vraiment...tu ne peux pas te contenté de restrer chez toi...c'est pas possible ça.

C'est quoi ce regard, il essaie de me faire céder ? Je n'ai pas le choix. Qui sait ce qu'il fera si je lui refuse ça.

- Bon ! Très bien, c'est toi qui gagne cette fois. Mais si jamais il arrive quoi que se soit...dit leur juste que je t'ai forcé.

Je sort un stylo d'une des poches de ma veste et mon paquet de cigarette. J'inscrit dessus une adresse. Je chuchotte.

- Rend toi a cette adresse cette nuit vers une heure. N'apporte pas trop de chose il va surement faloir courir.

Je lui donne le paquet.

- Fait bien attention a ne pas être suivis...

Je souris, légèrement et regarde le papier.
Une rue, quoi de plus simple. Mais si on nous attrape, je dirais la vérité.
Cependant, j'avoue que le " N'apporte pas trop de chose il va surement faloir courir " m'inquiète quelque peu, mais je m'en fous.
Je m'approche plus de lui, me lève sur mes pieds et l'embrasse sur la joue.

- M-merci...

Dans un sens, il est vraiment mignon. Mais, tout de même, l'enmener avec moi, c'est risqué. Je sais pas ce qu'il met passé par la tête pour accepter qu'il vienne.

- Te réjouis pas trop vite...Je peux toujours changer d'avis.

Je repart vers le domaine des Ouji et ue fois arrivé voila qu'on me fait des reproche. J'ai étais trop long ? Et bien tant pis. J'ignore mon superieur, qui lui n'a rien a foutu a par rester tranquil sur son siege toute la journée. J'entre dans ma chambre et ferme la porte au verrou.

J'ouvre mon tiroire et prend mon flingue, mon briquet, mes papiers et...une sucette ? Oh, oui c'est vrai, c'est lui qui me l'avais donné. Je me souvient. Je la prend aussi. Puis m'assoie sur mon lit.

J'espere qu'ils mettront du temps a remarquer que je suis partis. J'aurais de gros soucis sinon.

L'heure de rendez-vous approchant, je décida de sortir. Par derriere pour ne pas me faire voir, biensûr. Je me rendit donc sur les lieux et alluma une cigarette en l'attendant. J'espere au moin qu'il a suivis mes conseil et qu'il n'a pas pris son armoire avec lui. J'ai juste un sac avec deux trois fringues histoire de pas puer.

Qu'il change d'avis, moi je le changerais pas.

Et il partit.C'est ironique, c'est toujours moi qui part en dernier.
Et moi aussi, je partis.


J'ai profité de l'arrivé du membre qui remplacera Jack, un Italien au nom de Paulo.
Comme c'est moi qui m'occupe des boissons, j'ai mis de la drogue douce dans le verre du Boss.
Une fois l'effet voulu - hallucination vomissement ect - tout le monde s'occuper de lui et j'en profita pour dire que j'allais à la pharmacie de nuit, situé à deux kilomètres d'ici.
Et je parti dans ma chambre, je ne pris que mon unique revolver, que - comme d'habitude - je cacha dans mon caleçon ( sur le côté, je rassure ).
Je pris aussi l'argent qu'on m'avait donné, pour pouvoir m'acheter le bonnet FROGGY ( que je ne pourrais acheter, finalement... )

Je souris. Aujourd'hui, 01h00, j'avais 20 ans, j'étais majeure, et je fuyais...D'un côté, j'aime le côté dangereux, mais de l'autre...

Je soupira et parti, jetant un dernier regard à ma demeure.

" Comme des amants en fuite " pensais-je, et je rigola, un rire étouffer par mes mains.
Enfin, j'arrive à la rue et vit une ombre, avec de la fumée.

- Bel' !

Mon pas se précipita et une fois à sa hauteur je souria.

Ah ! Le voila ! Pile à l'heure en plus. Il à l'air en forme, et vraiment content de ce qu'il se passe. Franchement, je ne sais pas comment il arrive a se réjouir dans ces conditions. Je chuchotte.

- Crie encore plus fort pendant que t'y es.

Je jete ma cigarette par terre. Je ne l'ai pas finis celle la non plus. Bref, ce n'est qu'un détail. Je ramasse mon sac que je place derriere mon épaule. Puis lui fait un signe de tête pour lui dire "on y va". On prend le chemin qui mene à la sortie de la ville. C'est la deuxieme fois que je passe par ici. La premiere fois pour allé au cimetiere le jour de l'enterment de ma mère.

Peu importe. On sort enfin. Mon compagnon de route semble déja fatiguer. On a mit trop de temps a sortir de la ville, il va faloir qu'on se presse. J'accelere le pas.

Le ciel commence déja a s'éclaircir ? Il vaut mieu se planquer pour l'instent. En plein jour il est facile de nous reconnaitre. Je me stoppe et regarde autour de moi. J'apperçois un temple pas loin, ça fera l'affaire.

- On va allé se reposer là haut.

Après avoir monté une centaine de marche nous voila enfin à l'entrée. Je fais le tour, on va quand même pas forcer la porte d'entrée se serait trop voyant. Je force une fenêtre, c'est déja mieu. J'aide Fran a y rentrer et rentre a mon tour. La poussiere le fait toussoté.

- Je me demande depuis combien de temps personne ne vient entretenir cet endroit...Enfin, c'est bien qu'il soit abandonné dans un sens.

On fera pas de m'auvaise rencontre. Je referme la fenetre et allume mon briquet. Je trouve assez vite quelques bougies allumer. Je fini par m'assoire contre un mur.

J'étais exténué. ayant une santé fragile ( enfin, j'attrape facilement la crève ou je ne sais quoi ) je n'étais pas trop habitué à sortir, enfin, à marché, sauf ces derniers jours, qui se sont avoué agité ). La marche, les cents marches.

Comme il fait noir, je tâte, à quatre pattes ( j'me suis déjà pris les pieds de Bel' ainsi qu'un banc dans la tronche alors...)
Cependant, j'aperçois un peu plus devant Belphegor qui allume des bougies.
On voit un peu mieux j'avoue.
Je soupire et continue, à quatre pattes, mon petit voyage pour finir près du mur le plus près.
J'observe les lieux; c'est la première fois que je vais dans un temple.
Je me demande si ça résonne ?

- Aaaah...

Non.
Je regarde mon blond et lui demande :

- Au faite...Où on va aller ? Enfin, pas que ça me tracasse, juste curiosité.

Je continue de l'observer, discrètement cette fois.
Si beauuuu... ( *bave ? *)

Sayais, il l'a fait. Il m'a posé la question fatidique. La question à la qu'elle je ne peux pas répondre, celle qui me trotte dans la tete depuis notre départ. Je baisse la tête regarde le sol tout en cherchant. Je ne sais pas du tout...

- J'en sais rien, mais on a pas besoin de le savoir. Pour l'instent tout ce qu'il faut c'est...s'éloigner le plus possible d'eux.

Je me leve et attrape mon sac puis me rassoie posant mon sac a coté sur le sol, comme un oreiller.

- Tu devrais dormir un peu, t'as l'air fatigué...

Je tapote le sac.

- Couche toi là.

Ooh..Alors il ne sais pas encore.
Je m'approche de son sac et me couche sur le ventre, pose ma tête sur le sac et soupire.
Je sais, que je dois le gêné...En réalité, je l'ai toujours gêné, dans un sens ou un autre, non ?
Et si ça avait pas commencer avec le truc de " je veux des excuses " on en serait pas là.
J'aimerais lui dire que je l'aime, le rassuré ou un truc du genre mais non, ça le ferait pas.

Je ferme les yeux, mais je ne m'endors pas pour autant.

Je le regarde. Il à l'air inquiet...ou quelque chose comme ça. Je le sent, il n'est pas tranquil, je me demande bien à quoi il pense. Je carresse doucement ses cheveux vert.

- Qu'est-ce qu'il y a...? Tu ne te sens pas bien ?

Je sais bien que c'est pas confortable mais on peut pas faire autrement pour l'instent. On a pas le choix, pendant la journée c'est trop risqué de sortir. Même la nuit, mais on passe déja plus inaperçu...

- C'est comme me donner le trésor, mais sans la clé...Murmurais-je.

J'aime que sa main touche mes cheveux, un doux contact, presque une douce torture.
Et je décide de répondre à sa question;

- C'est...en partie ma faute si on...si tu es dans cette situation..

Je tourne ma tête, et dis :

- Mais bon, ce qui est fait est fait.Je pense que je vais dormir un peu.

Enfin, dormir...Plutôt éviter la conversation.
Et donc, je fais de mon mieux pour dormir, même si j'avoue qu'une sorte de culpabilité m'envahis.

Il croie que c'est de sa faute ? Pourquoi est-ce qu'il pense une telle chose, il n'y est pour rien. Je n'aurais juste pas du lui dire ce que je compté faire...D'une certaine façon je croie que je suis content qu'il est insisté autant pour me suivre. J'aime bien sa compagnie.

- Tu ne devrais pas penser comme ça. Je ne t'en veux pas...j'aurais pu très bien t'indiqué une fausse adresse pour t'embrouillé et partir tranquil. Mais je ne l'ai pas fait.

Je me couche moi aussi, sur le dos et regarde le plafond. Je n'en ai pas l'air mais je suis vraiment fatigué. Et je ne sais pas ce qui va se passer ensuite, si jamais on ne trouve pas d'endroit où vivre. Si jamais ils nous retrouvent...tout ça me travail.

- Fran, ce n'est pas à toi d'assumer mes choix. Oublis ça, d'accord ?

Tes choix sont les miens, dis intérieurement Fran.

- Tu...Tu veux un bout de ton sac ?

Ça me gêné de le voir par terre, tandis que je prenais son sac.

- Ou alors tu peux te servir de mon dos comme oreiller, bien que c'est pas très confortable, tentais-je.

Je devais être le seul à sentir cette tension, je pense que c'est moi le problème.
Je dois trop me travailler...Mais, je ne veux pas non plus fermer les yeux sur ce qui se passe.

- J'assumerais avec toi, un point final, avec ou sans ton avis.

Et j'enfonçai ma tête dans le sac, sûrement le rouge aux joues.

Quel gamin têtu. Enfin, ils le sont tous je croie. Tant pis, mais ça me dérange qu'il se tracasse avec ça. En plus, ça répant une atmosphere tendu, j'aime pas ça. Je tourne la tête vers lui.

- On dirait que tu tien vraiment à m'enerver.

Je soupire puis me décale un peu vers lui, et me place de façon a ce que son dos soit contre mon torse. Je pose mon front contre son épaule.

- Pourquoi fallait-il que je tombe sur un gamin capricieux comme toi ? Le ciel ne m'a pas fait de cadeau...

Je crois que si je me regarderais dans un miroir, je ferais concurrence aux tomates.
Sa dernière phrase ne m'a pas vraiment plu, et je lui fais remarquer d'ailleurs.

- Ok, ok, si tu veux je me casse; c'est quand tu veux. Tu seras peut-être tranquille, comme ça.

Je boude. Toute façon je l'énerve. Il avait qu'à pas...Il n'avait qu'à pas...Me faire tomber amoureux, voilà.
Je soupire, moi aussi.

- Toute façon, tu vas devoir supporter ce gamin encore longtemps, je pense.

Pourquoi il est si suceptible, ça devient agassant. Je glisse une main sur son torse en le raprochant un peu.

- Mais c'est bien ce qui m'inquiete...

Et le voila près à sortir les griffes une nouvelle fois. Il n'apprendra donc jamais. Vraiment, un autre je l'aurais déja abandonné au bord du chemin.

- A être aussi distant avec moi, n'éssairais tu pas de te contre dire...? Je n'ai pas oublié ce que tu m'as avoué il y a de ça deux jours...

Touché ? Il semble déja moin la ramener.

Mon cœur tambourine fort, dans ma poitrine, pour cause, sa main qui touche mon torse.
Cependant, je ne trouve pas de réponse autre que d'enfouir ma tête encore plus dans son sac.

"
Je n'ai pas oublié ce que tu m'as avoué il y a de ça deux jours... "

Ça donne si bon et mauvais dans ma tête.

- Ouais ben...Dors, tu dois être crevé.

Je tourne ma tête pour regarder le mur, qui est devenu si intéressant tout d'un coup.
C'est vraiment cruel d'un côté. Comme je l'ai déjà dis, ce serait comme m'offrir une trésor dont je n'ai guère de clé. On aimerait voir l'intérieur, ce qu'il contient, l'avoir pour soi. Mais je suppose que je dois juste garder le trésor, jusqu'à ce qu'une personne, avec une clé, arrive pour le prendre.

Je sens les batements de son coeur, ça a un côté agréable. Voir même relaxant...Pourquoi est-ce qu'il évite le sujet ? Insuportable cet enfant. Je soupire a son oreille.

- Ingras.

Et fini par le lacher pour me mettre dos a lui. Si il veut faire la tête et bien tant pis. Je suis pas psy. Et je n'ai pas de temps a perdre avec ces gamineries. Il vaut mieu que j'éssaie de me reposer pour l'instent. Je ferme les yeux et tente dans me vidé l'esprit.

Je l'ai énervé, voilà, Bravo, Fran.
Je me relève pour me retrouvé assis.
Je joue avec mes doigts, nerveux.

- Je...Désolé, je pense t'avoir énervé...Enfin..Aussi, je pense que c'est pas vraiment facile de me supporter mais...Je sais pas, je suis nerveux, aussi...Pas de si on nous attrapes ou je ne sais quoi ! enfin...

Je me mords la lèvre, je ne sais plus vraiment, en faite.

- Enfin...Comme tu le sais...J..Je t'aime et donc je m'inquiète, enfin, il est normale, je pense que lorsque tu me dis des choses désagréable je réagis pareille, surtout venant de toi...

Après avoir finis, je me recouche, mais dos à lui, et face au mur.

Qu'est-ce qu'il raconte encore ? Il a pas fini de dire des idioties...? Il ne fait que m'enerver d'avantage. J'ignore ses paroles. D'ailleur il fini par se taire et se recoucher. Tant mieu. Qu'il se taise c'est mieu comme ça. Voila, ce qui arrive quand j'accorde trop de confience a quelqu'un.

Je n'arrive pas a m'endormir mais je me suis bien reposer. Je croie bien qu'il dort. Enfin peu importe. J'ouvre la fenetre, il commence à faire tard. Je sors dicretement et descend en ville chercher de quoi manger. Puis remonte en silence. Bon sang quelle marche, je suis fatigué de monter ses escaliers...

J'entre a nouveau et m'assois contre le mur. Il s'est réveillé ? Je lui envoie un beigné.

- Mange.

On va bientôt devoir repartir. Ca m'étone qu'il n'ai pas déja éssayé de le joindre sur son téléphone. Il l'a peut-etre laissé.

Je n'ai pas très faim, et j'aime pas les beignets, mais bon. Je me force à mangé.
Je n'ai fait que creusé un fossé entre nous, plus grand qu'il ne l'est.

Pendant que Bel' étais parti, j'ai vu que j'avais reçu un message de Kyou-senpai.
Il s'inquiète pour moi, et bien que j'aurais aimer lui répondre, j'ai préféré balancé mon portable par la fenêtre.

- Euh...B..Bel'...?

J'hésite un peu, et s'il était encore énervé ?
Nan, nan, pas besoin de lui demander par où nous iront, je n'aurais qu'à le suivre et la fermer, je pense que ça suffira. J'ai déjà beaucoup de chance qu'il m'est amené avec lui.

Je me lève et baille, puis m'étire.

Je le regarde, il vient de m'appeller non ? Pourquoi il ne dit rien...? Il m'éxaspere. J'espere qu'il changera vite de comportement. Je tien pas a faire le voyage dans ses conditions. Je bois un peu d'eau avant de me lever. Je range les affaires dans mon sacs.

- Bon, on va y aller.

Je souffle les bougies et ouvre la fenetre. Je l'aide a nouveau a sortir puis a mon tour je sors, sans oublier de refermer. Je chuchotte.

- Il va faloir qu'on soit plus prudent cette fois. A coup sur ils ont déja envoyer quelqu'un pour nous ramener.

On descend les fameuses marche. Sur le chemin je reste silencieu, lui aussi d'ailleur. Je n'aime pas ce silence, il est vraiment pesant. Arrivé a un carrefour je me stoppe. A pied c'est beaucoup trop long. Je regarde a droite, puis a gauche et repere une rangé de véhicule.

Je m'approche de la cariole la plus pourie, on sait jamais dans les neuves ya souvent une alarme. J'attrape mon couteau suisse et crochette la cerure jusqu'a l'ouverture de la porte. Heuresement qu'on sort du monde mafieu, comment j'aurai apris a faire ça sinon.

J'attends qu'il entre a l'interrieur pour commencé a trafiqué la machine. Sans les clefs, c'est assez difficile...Mais au bout de plusieurs éssaie mes efforts son recompensé. Je démarre et prend une direction quelconque. Je sais vraiment pas ou on va mais on y va.

Je ne sais pas comment réagir : la fermer, parler, parler beaucoup.
C'est pas comme si on se connaissait, donc je ne sais pas ce qu'il aime, ce qu'il déteste...
La voiture me fait mal au derrière, mais je ne vais m'en plaindre, c'est mieux qu'à pied.
Souvent, mon regard se balance vers Belphegor, j'essaie de percer ses pensées mais non.
Je suppose que c'est un coffre d'or, difficile à ouvrir...Peut-être qu'avec le temps...

On passa devant une école maternelle, ce qui me rappela une enfance pas très loin.

- Aaah, trop mignons, les gosses...Ils n'ont pas à se préoccupé de chose comme la mafia, le boulot ou autre, ils se content de sourire, de jouer innocemment...J'aimerais être comme un gosse aussi, me réveillé, sourire en voyant une personne que j'aime beaucoup, et continué de sourire naïvement. M'amuser. Jouer, toutes ces choses...

Je souris. J'aimerai avoir des enfants, un jour, peut-être.

- Mais un gosse c'est chiant des fois aussi...,Dis-je en grinçant des dents.

Pourquoi il me parle des gosses ? Je deteste ça. C'est bruyant, ça court partout ça fait que des conneries. Vraiment, je les suportes pas. En tout cas il a l'air assez content d'en parler.

- Je confirme.

Il est lui même assez enervant parfois. Enfin, on ne pas allé contre nature. Il est comme il est. Après deux heures passé dans le silence on arrive sur une route deserte. Ca doit faire bien 20 minutes qu'on a pas croisé de ville. Enfin, tant mieu.

Le soleil réaparait au file des heures. Et, c'est pas tout. Je m'arrete a une station d'essence. Je lui donne un peu d'argent pour qu'il aille s'acheter de quoi manger et qu'il m'aporte un café pendant que je fais le plein.

Je suis vraiment creuvé. Une fois le plein fait je m'approche de la caisse pour payer et le voie revenir les mains pleine.

Je faisais la chasse aux sucreries - notamment mon pêché mignon : Les sucettes.
J'ai acheter un café pour lui, 3 paquets de sucettes, un paquet de biscuit ect...Bref.
Alors que je m'approche de la voiture, j'en avais oublié que Bel' avait conduit toute la nuit.
Je me hâte de mettre les courses aux sièges arrières et prend la tête de Belphegor dans mes mains, le regardant droit dans les yeux :
Il possède d'énorme cernes, et je lui dis :

- Tu as d'énorme cerne...Tu devrais te reposer ! Je peux conduire si tu veux, ou alors il y a peut-être un hôtel ou un truc comme ça pour que tu dormes ?

Je n'attends pas sa réponse et part demander au vendeur s'il y a un hôtel pas loin, il me regarde bizarrement - en m'ayant vu avec Bel' mais je m'en fous.
Il fini par me répondre qu'à la ville voisine - à une centaine de kilomètre - il y aurait des hébergements, je le remercie et arrive vers Bel'.

- Il y a des hébergements dans la ville voisine, qui se situé à 100 kilomètres, si tu le souhaites, je conduis et nous ferons une pose là bas ?!

C'est peut-être ridicule de s'inquiéter pour un manque de sommeil me dirait-on mais pour moi, c'est important. Surtout s'il s'agit de lui.

Ce gosse il ne s'arrete donc jamais...? Je soupir et ingurgite mon café. Il s'inquiete vraiment pour rien. Enfin, si ça peut lui faire plaisir.

- Bon très bien...mais j'espere que nous fera pas d'accident.

Je monte à la place du passager tout en continuant a siroté mon café.

- Aufait, tu n'a acheté que des cochoneries ?

Je connais déja la réponse...

- La prochaine fois j'irai moi même faire les courses. Tu croi que tu va tenir combien de temps avec ça ? ...Tout ce sucre, m'étone pas que tu soit un peu barge.

J'ouvre la fenetre et allume une cigarette avant qu'il ne démarre.

Je rigole.

- Barge ? Le sucre est important, si il faut courir, faire du sport ou autre, le sucre est ton ami ! Et puis même...J'aime les cochonneries ♥

Je souris puis après, un peu de fumée me vint aux narines. Il fume encore ?

- Tu vas te crever les poumons à force de fumer, tout comme je ferais une overdose de sucre si je continue les sucettes, dis-je, concentré sur la route.

Et pendant le trajet je me permis de chanter à voix basse, je m'emmerdais.

Au bout d'une bonne heure, de petits batiments étaient visibles de loin.
Je ne savais pas s'il dormait ou non, donc je ne dis rien, et on s'approcha encore plus de la ville.